La motte de terre correspond au premier témoin d’occupation du territoire d’Aucaleuc : c’est autour de celle-ci - située près d’un cours d’eau - que le bourg va se développer au fil des siècles. Aujourd’hui, les vestiges sont dans un très bon état de conservation et son intégrés au sein du jardin public, placé à l’arrière de la mairie.
Dossier d’œuvre architecture IA22133477
| Réalisé par
Longuet Tiphaine
(Rédacteur)
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Longuet Tiphaine
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- inventaire topographique, Dinan agglomération
Motte castrale (Aucaleuc)
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
- (c) Conseil départemental des Côtes-d'Armor
- (c) Archives départementales des Côtes-d'Armor
Dossier non géolocalisé
Localisation
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Aire d'étude et canton
Parc naturel régional de la Vallée de la Rance - Côte d'Emeraude
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Commune
Aucaleuc
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Dénominationsmotte
L’évocation du nom de Gaufridus de Oscaloc en 1184 comme témoin d’un accord entre le vicomte de Poudouvre et l’abbaye de Léhon, puis celui de Hamon d’Oscaloc deux siècles plus tard, confirme l’établissement d’un fief à l’époque médiévale dont subsiste la motte castrale.
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Période(s)
- Principale : Moyen Age
Motte circulaire entourée de deux fossés, l'un d'une largeur de 5 mètres. Vestiges de fondations en maçonnerie à la base du tertre (face occidentale) . Une église fut construite dans la basse-cour en 1720 (détruite).
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Murs
- terre
- (c) Conseil départemental des Côtes-d'Armor
- (c) Archives départementales des Côtes-d'Armor
- (c) Conseil départemental des Côtes-d'Armor
- (c) Archives départementales des Côtes-d'Armor
Bibliographie
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LEROUX Amandine, Rapport de sondages, Aucaleuc (Côtes d’Armor) Motte de la Barre, Université de Tours, 1999
Date(s) d'enquête :
2018;
Date(s) de rédaction :
2020
Longuet Tiphaine
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Maljean Blandine
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Dossiers de synthèse