Photographe à l'Inventaire
- enquête thématique régionale, Lycées en Bretagne
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Bretagne
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Commune
Fougères
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Adresse
11 rue du Champ Rossignol
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Dénominationslycée
Le lycée Jean Guéhenno de Fougères est implanté sur deux sites. A "la Chesnardière" est implanté le lycée général et technologique, à "la Chattière", le lycée professionnel. Ils ont, à partir des années 1960, une personnalité administrative et une histoire communes, celle de la "cité scolaire polyvalente", dont les plans ont été étudiés par Albert Hec, directeur de l'école régionale d'architecture, architecte de la Ville de Fougères, à partir de 1964. Après son décès en 1965, c'est son successeur comme architecte de la Ville, Roger Besnard, qui reprend la maîtrise d’œuvre. Il cosigne les plans à partir de 1966. La première rentrée dans les nouveaux bâtiments a lieu en 1968.
La mutualisation du service de restauration et de l'internat confèrent une unité à l'établissement -les internes filles sont hébergées sur le site du lycée général et technologique. L'implantation sur deux sites nettement séparés, nous a cependant conduit à réaliser deux dossiers distincts pour présenter l'architecture de ces lycées. Mais il est recommandé de lire les deux dossiers.
L'histoire de leur décoration au titre du 1% artistique forme un tout. Elle est traitée donc dans un seul dossier.
Chacun de ces lycées est doté de son propre gymnase étudié dans le cadre de l'opération d'inventaire du patrimoine des sports en Bretagne.
Par-delà la dualité des sites d'implantation, l'originalité de cet ensemble est incontestablement l’installation d'une partie de l'établissement dans des bâtiments construits à la fin des années 1930 pour abriter un hospice de vieillards : un bel exemple de l'architecture de la santé de l'entre-deux-guerres adoptant un plan en éventail également utilisé pour les sanatoriums et préventoriums. L'hospice comprend une chapelle qui existe encore aujourd'hui. Les plans de cet ensemble avaient déjà été donnés par Albert Hec et sont publiés dans le dossier spécifique à la chapelle et sa décoration.
Les débuts de l'enseignement secondaire à Fougères
Les inventaires des archives municipales mentionnent une "école secondaire" à Fougères dès l'an XI. La mention d'un collège apparaît pour les années 1838-1842. Les inventaires indiquent encore qu'un collège municipal fonctionne continument à partir de 1869 et de la construction de bâtiments dédiés. Parallèlement, une école primaire supérieure de filles ouvre en 1904.
Installation du collège dans l'ancien hospice de vieillards construit par l'architecte Albert Hec
Le collège municipal de garçons est détruit lors des bombardements de juin 1944. En 1947, il s'installe dans les bâtiments construits selon les plan de l'architecte Albert Hec, à la fin des années 1930, pour abriter l'hospice de vieillards de la Chesnardière. Ces bâtiments, achevés en 1939, n'ont jamais accueillis les personnes âgées puisqu'ils ont d'abord été occupés par un hôpital militaire et furent eux-mêmes victimes des bombes en 1944. L'aile sud, en particulier, avait été détruite.
Ces bâtiments furent reconstruits, dans le but d'accueillir le collège. Une délibération du Conseil municipal en date du 17 juillet 1947 nous apprend en effet que le plan d'urbanisme de la Libération prévoit que l'ancien hospice est réservé pour le Collège municipal "qui en a pris possession". Le plan rectangulaire de l'aile rebâtie était propice à la création de salles de classes, desservies à chaque étage par un couloir latéral. Sa transformation en externat était simple, tandis que l'aile est demeurait, en quelque sorte, un internat : les dortoirs et lavabos conçus pour les vieillards étant désormais dévolus aux élèves.
Agrandissement du lycée et création d'une cité scolaire polyvalente
A partir de 1964, Albert Hec étudie les plans d'une cité scolaire polyvalente implantée sur deux sites.
En janvier-février 1966, l’État et la Ville de Fougères signent une convention commune de financement pour la construction d'une "cité scolaire polyvalente constituée par la juxtaposition de deux établissements :
1) lycée classique et moderne mixte avec internat féminin et demi-pension mixte communs dont le programme pédagogique (...) prévoit un effectif de 800 élèves
2) Lycée de second cycle technique mixte avec collège d'enseignement technique annexé avec internat masculin commun dont le programme pédagogique (...) prévoit un effectif de 714 élèves."
La ville délègue la maîtrise d'ouvrage (y compris la désignation de l'architecte) à l’État, apporte les terrains et participe à hauteur de 12,8% du financement. Les terrains, d'une superficie totale de 90 267 m2, sont situés au lieu-dit "La Chesnardière" pour le lycée classique (41680 m2) et au lieu-dit "La Chattière" 48 587 M2) pour le lycée technique avec CET annexé.
Réévalué en 1972, le coût total des constructions s'élève à 19 148 324 francs.
Le lycée classique et moderne s'implante donc sur le même site que l'ancien collège municipal, augmenté de parcelles situées au nord de celui-ci. La première pierre est posée, en présence du Préfet M. Stirn, du Recteur, M. Le Moal, et du directeur départemental de l’Équipement, le 6 janvier 1967. La rentrée en prévue dans les nouveaux bâtiments en 1968. L'établissement devient "lycée d’État" dans les années 1970 et prend, en 1978, le nom de Jean Guéhenno (1890-1978), natif de Fougères, écrivain, académicien, mais aussi inspecteur général de l’Éducation nationale, à la fin de sa carrière.
L'architecte de la Ville, Albert Hec, qui était déjà l'architecte de l'hospice de vieillards, est choisit par l’État pour en donner les plans. Le plan masse qu'il dessine en 1964 prévoit la réutilisation du bâtiment existant, transformé en totalité en internat et la création d'un externat (intégrant l'administration et les logements), d'un restaurant scolaire, d'un gymnase. Albert Hec décède en 1965. C'est Roger Besnard, nouvel architecte de la Ville, qui reprend le projet et le modifie à la marge, notamment en séparant le bâtiment des logements de fonction de l'externat.
Le lycée aujourd'hui
Le plan de masse n'a pas beaucoup évolué depuis. Un CDI a été ajouté en 1992. Ses plans ont été dressés par l'architecte Bernard Kaleski.
Le bâti des années 1960 a par ailleurs fait l'objet d'une réhabilitation. Une galerie couverte a été construite devant le restaurant scolaire.
En 2018-2019, le lycée général et technologique Jean Guéhenno accueille 1280 élèves, majoritairement des filles (686) et, au total, 31 internes. Il dispense des formations pour les différents baccalauréats généraux, pour des bacs technologiques dans les domaines de l'environnement, du numérique, de la mercatique, des ressources humaines et de la communication, ainsi que des BTS (maintenance systèmes, mode-chaussure et maroquinerie- technico-commercial.
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Période(s)
- Principale : 2e quart 20e siècle, 3e quart 20e siècle , daté par source
- Principale : 4e quart 20e siècle , daté par source
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Dates
- 1937, daté par source
- 1939, daté par source
- 1964, daté par source
- 1966, daté par source
- 1968, daté par source
- 1992, daté par source
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Auteur(s)
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Auteur :
Hec Albertarchitecte attribution par sourceHec Albert
Architecte DPLG, architecte de l’Office départemental des HLM, architecte de la ville de Fougères, directeur de l’école régionale d’architecture, 17 quai Lamartine, Rennes, et 12 rue Chateaubriand, Fougères
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Auteur :
Besnard Rogerarchitecte attribution par sourceBesnard Roger
Architecte DPLG, ingénieur ETP, 39 boulevard de la Liberté, Rennes. Elève de Jean Monge à l'Ecole d'architecture de Rennes, diplômé en 1955.
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Auteur :
Kaleski Bernardarchitecte attribution par sourceKaleski Bernard
Architecte DPLG, urbaniste OPQU.
Agence d'architecture Kaleski, 11 rue Alfred de Musset, Fougères.
Fonds d'archives en partie déposées aux AM Fougères, en partie à l'agence.
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Auteur :
Contexte urbain et paysager
Lorsque l'hospice de vieillards, qu'occupe encore le lycée, est construit sur des terrains du château de la Chesnardière, à la fin des années 1930, il est implanté en limite sud-est de l'urbanisation, dans un quartier en cours de développement. Il est bordé, au sud, par le parc des sports et, à l'ouest, par la gendarmerie et un haras. Le lycée est aujourd'hui intégré à un tissu urbain à dominante de logements pavillonnaire, au nord, à l'ouest et au sud, et par des équipements publics, à l'est : foyer de vie et EHPAD.
Le lycée se compose de trois générations de bâtiments
La première génération de bâtiments correspond à l'ancien hospice de vieillards et abrite aujourd'hui les fonctions d'internat, d'externat, de logement et d'atelier pour les agents. Elle date de la fin des années 1930 - certains lots de l'hospice sont livrés en 1939, l'ensemble est presque achevé en 1940.
L'architecte Albert Hec avait, en 1936, donné pour l'hospice un plan en étoile, avec deux ailes orientées au sud pour abriter les dortoirs des vieillards - une pour les hommes, l'autre pour les femmes. La troisième aile était réservée aux services communs (parloir, réfectoires, cuisines, morgue...), à l'hébergement de la communauté des sœurs et à la chapelle. Ce bâtiment est un intéressant exemple de l'architecture de la santé dans l'entre-deux-guerres. Il possède une ossature et des planchers en béton armé. La toiture était ainsi présentée par l'architecte dans son mémoire technique : "la terrasse est (...) en béton armé, corps creux, isolement en plaques de liège, étanchéité garantie". Les ailes des dortoirs, formant entre elles un plan en V largement évasé, se terminaient aux extrémités par des salles de repos et des terrasses superposées en demi-cercle. Près de l'entrée du parc, une conciergerie, aujourd'hui détruite, complétait cet ensemble qui fait l'objet d'une présentation plus détaillée dans un dossier spécifique à "la chapelle du lycée Jean Guéhenno et sa décoration".
Adaptation de l'hospice aux fonctions scolaires après guerre.
L'aile ouest du bâtiment a été fortement détruite par les bombes, en juin 1944. Après guerre, la municipalité décide de reconstruire les bâtiments pour héberger le collège municipal. Les parties en demi-cercle ont alors été supprimées. Des toitures en pavillon, à très faible pente, recouvertes de zinc, ont été ajoutées. L'aile ouest a été transformée pour abriter des salles de classe, un préau, une salle de sport. Le rez-de-chaussée de l'aile est était, de même transformé en externat. L'étage de cette dernière et l'aile nord demeuraient quant à elles, pour l'essentiel, identiques. Les aménagements d'origine pour l'hébergement et la restauration des vieillards, pouvaient en effet remplir les mêmes fonctions pour des élèves, avec notamment des dortoirs de 18 lits.
Restructuration des années 1960.
Lors de la restructuration des années 1960, concomitante de l'extension du lycée au nord et de la création d'un service de restauration au sud, ces bâtiments retrouvent une fonction exclusive d'internat, avec des dortoirs de huit lits, des salles d'étude en rez-de-chaussée de l'aile ouest. Des extensions sur les façades arrières des deux ailes, permettent de créer ou d'agrandir les espaces dédiés à l'hygiène : lavabos, douches, bidets et WC.
Aujourd'hui, l'aile ouest a retrouvé des fonctions d'externat, avec notamment la salle d'arts plastiques et une salle d'exposition.
Les nouveaux bâtiments de 1967-1968
En 1964, Albert Hec étudie le plan masse d'un nouveau "lycée classique et moderne". Il adapte légèrement, comme indiqué, le bâtiment des années 1930, et ajoute, au nord :
- un ensemble : "administration - logements - externat" et un gymnase ;
- au sud, un bâtiment pour les services de restauration.
Après son décès fin 1965, Roger Besnard reprend ces plans en les modifiant quelque peu - il les "cosigne", à partir de 1966. Il crée en particulier un bâtiment spécifique dédié aux logements. La partie sud-ouest du bâtiment A, initialement prévue pour les logements et l'administration, est abaissée à un unique niveau. Elle est en effet réduite aux fonctions d'accueil et d'administration. Pour éviter que l'externat revête un aspect trop long et uniforme, les architectes ont prévu deux barres mitoyennes décalées, selon des proportions 2/3 - 1/3. Ils ont relié les deux parties par un même dégagement, au niveau de la cage d'escalier intermédiaire.
Les salles de classe des différents niveaux sont desservies par deux autres escaliers situés à chacune des extrémités et par des couloirs centraux.
La trame des façades est uniformément répétée. Ces bâtiments répondent aux normes de l'architecture scolaire industrialisée de l'époque : trame de 1,75m, structure poteaux-poutres en béton armé. Les toitures sont couvertes de zinc, à l'exception de celle de l’administration qui est une toiture-terrasse.
Les logements reprennent ces principes constructifs. Deux ailes de plan rectangulaire, de trois niveaux chacune, sont positionnées en équerre et légèrement mitoyennes.
La restauration scolaire est un bâtiment à simple rez-de-chaussée et toit-terrasse. Le plan d'ensemble comprenant deux parties, est fonctionnel. Au centre, éclairées par des lanterneaux, sont situées les cuisines, de plan carré, sur sous-sol abritant les réserves et des locaux techniques. Sur le pourtour, disposés en U sur trois des côtés des cuisines, sont installés les réfectoires et les bureaux de l'intendance. La façade principale, orientée sud-est, accueille en son milieu l'entrée, bordée de chaque côté par les petits réfectoires destinés aux professeurs.
Une extension importante : la construction d'un centre de documentation (CDI) et d'information neuf.
En 1992, est inauguré un nouveau centre de documentation et d'information, dessiné par l'architecte Bernard Kaleski. Il est positionné entre l'externat, avec lequel il communique, et le gymnase. Il prend ainsi une place centrale dans l'établissement : celle qui est désormais donnée aux CDI dans les lycées neufs. Bien que de style très différent des constructions industrialisées des années 1960, il s'intègre bien au site.
Cette qualité est à la fois due à son unique niveau - son volume modifie guère la perception du grand externat. Son positionnement en bordure d'une déclivité marquée est également propice à son intégration paysagère. Son plan irrégulier occupe pourtant une surface au sol importante. Les baies en pourtour et des lanterneaux permettent cependant à la lumière naturelle d'y pénétrer largement. Les façades sud-est et nord-est sont décorées de "cages" métalliques. L'une d'elle, au sud-est, "emprisonne" une sculpture métallique, "la vache qui rouille", offerte au lycée, en 2006, par Jean-Pierre Waeckel.
La décoration du lycée au titre du 1% artistique
Un dossier d'inventaire spécifique présente "La décoration des lycée et lycée professionnel Jean Guéhenno au titre du 1% artistique". Il est consultable sur ce même site internet.
D'importantes collections pédagogiques
L'histoire du lycée, dans le prolongement du collège municipal de garçons et de l'école primaire supérieure de filles, explique la présence d'une riche collection d'objets liés à l'enseignement. Elle mériterait une étude plus poussée. Une partie de ces instruments est présentée dans des vitrines visibles par les élèves dans les couloirs du bâtiment A, à proximité des laboratoires de sciences. A noter : la présence de planches murales qui ont été éditées par la maison Boubée, à la fin du 19e siècle, et d'un important herbier des années 1930, très bien documenté (date, lieu de prélèvement, nom du collecteur).
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Murs
- béton
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Statut de la propriétépropriété de la région, Code : 0350011X
- (c) Ville de Fougères
- (c) Ville de Fougères
- (c) Ville de Fougères
- (c) Région Bretagne
- (c) Ville de Fougères
- (c) Conseil départemental d'Ille-et-Vilaine
- (c) Ville de Fougères
- (c) Ville de Fougères
- (c) Ville de Fougères
- (c) Conseil départemental d'Ille-et-Vilaine
- (c) Conseil départemental d'Ille-et-Vilaine
- (c) Ville de Fougères
- (c) Ville de Fougères
- (c) Conseil départemental d'Ille-et-Vilaine
- (c) Conseil départemental d'Ille-et-Vilaine
- (c) Ville de Fougères
- (c) Ville de Fougères
- (c) Ville de Fougères
- (c) Collection particulière
- (c) Lycée Jean Guéhenno (Fougères)
- (c) Panoramic Bretagne
- (c) Région Bretagne
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- (c) Région Bretagne
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- (c) Région Bretagne
Bibliographie
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BRANCHEREAU, Jean-Pierre, CROIX, Alain, GUYVARC'H, Didier, PANFILI, Didier. Dictionnaire des lycées publics de Bretagne. Geriadur liseoù publik Breizh. Histoire, culture, patrimoine, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2012, 656 p.
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Allain [R.], "Croissance urbaine et urbanisme dans une « ville moyenne » : le cas de Fougères", Norois, n°123, Juillet-Septembre 1984. pp. 393-406
Documents figurés
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Archives municipales de Fougères : 2 MN 5/5.1. Albert Hec, Plans et élévations de l'hospice de vieillards de Fougères et du lycée classique et moderne mixte, 1964.
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Archives municipales de Fougères : O 6 - 3. Extrait du plan cadastral, la Chesnadière. Ca. 1935.
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Archives municipales de Fougères : 104 W 9. Hec [Albert] et Besnard [Roger], Plans du lycée classique et moderne, 1966.
Annexes
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FOUGERES_ LYCEE JEAN GUEHENNO_PLAN-Topo_2020 :
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AD35_104W98_lycée classique et moderne mixte_collège existant_1er étage_Hec et Besnard, architectes, 1966 :
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AD35_104W98_lycée classique et moderne mixte_collège existant_RDC_Hec et Besnard, architectes, 1966 :
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AD35_104W98_lycée classique et moderne mixte_collège existant_Sous-sol_Hec et Besnard, architectes, 1966 :
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AD35_104W98_lycée classique et moderne mixte_Internat_RDC_Hec et Besnard, architectes, 1966 :
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AD35_104W98_lycée classique et moderne mixte_Restaurant_Terrasse- Lanterneau_Hec et Besnard, architectes, 1966 :
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AM Fougères_2MN5-5.1_bâtiment A Externat_1er étage_Albert Hec_1964 :
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AM Fougères_2MN5-5.1_bâtiment A Externat_2e et 3e étage_Albert Hec_1964 :
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AM Fougères_2MN5-5.1_bâtiment A Externat_RDC_Albert Hec_1964 :
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AM Fougères_2MN5-5.1_bâtiment C Internat_1er étage_Albert Hec_1964 :
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AM Fougères_2MN5-5.1_bâtiment C Internat_2e étage__Albert Hec_1964 :
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AM Fougères_2MN5-5.1_bâtiment C Internat_RDC_Albert Hec_1964 :
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AM Fougères_2MN5-5.1_bâtiment D Restautrant_RDC sous-sol_Albert Hec_1964 :
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AM Fougères_2MN5-5.1_Hospice de vieillards_sous-sol_Albert Hec_1936 :
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AM Fougères_2MN5-5.1_Hospices de vieillards_1er étage_Albert Hec_1936 :
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AM Fougères_2MN5-5.1_Hospices de vieillards_RDC_Albert Hec_1936 :
Chargé d'études à l'Inventaire
Gymnase du lycée général Jean Guéhenno, 11 rue du Champ Rossignol (Fougères)
Adresse : 11 rue du Champ Rossignol
La chapelle du lycée Jean Guéhenno et sa décoration, 11 rue du Champ Rossignol (Fougères)
Adresse : 11 rue du Champ Rossignol
Lycée professionnel Jean Guéhenno, 3 promenade du Gué Maheu (Fougères)
Adresse : 3 promenade du Gué Maheu
Chargé d'études à l'Inventaire