Dossier d’œuvre architecture IA22016824 | Réalisé par
Lécuillier Guillaume
Lécuillier Guillaume

Chargé d'études d'Inventaire du patrimoine à la Région Bretagne.

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Dupont Flavie (Rédacteur)
Dupont Flavie

Etudiante à l'Université Rennes 2, master 2 Histoire, civilisations et patrimoine double parcours Histoire et Sciences-sociales et parcours Médiation du Patrimoine de l'Histoire et des Territoires.

Dans le cadre d'une étude sur les châteaux parlementaires costarmoricains pour la réalisation d'un mémoire de recherche historique sur les châteaux habités par des parlementaires bretons. En partenariat avec l'association VMF et la Région Bretagne.

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  • inventaire topographique, Lannion-Trégor Communauté
  • enquête thématique régionale, Inventaire des demeures parlementaires en Bretagne
Château de Rosanbo (Lanvellec)
Œuvre étudiée

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Schéma de cohérence territoriale du Trégor - Plestin-les-Grèves
  • Hydrographies ruisseau Dour Elégo
  • Commune Lanvellec
  • Lieu-dit Rosanbo
  • Cadastre A 206 à 211, 213, 303
  • Dénominations
    manoir, château
  • Parties constituantes non étudiées
    colombier, jardin, parc, écurie, ferme

Le château de Rosanbo était le chef-lieu d’une puissante seigneurie unie à celle de Lesnévez dont le propriétaire possédait le titre de seigneur et fondateur de l’église de Lanvellec mais aussi, des chapelles de Saint-Maudez, Saint-Laurent, Saint-Adrien à Plufur et Saint-Anselme. La seigneurie s’étendait jusqu’aux paroisses de Plouaret, Plounérin et Plounevez-Moëdec et disposait du droit de haute justice ayant "patibulaire à quatre pots" (c’est-à-dire, un gibet à quatre piliers de pierre reliés par des traverses de bois auxquelles étaient pendus les condamnés à mort puis exposés à la vue de tous). Au fil du temps, le vieux manoir familial gothique s'est mué en un château à la mode de son temps.

La seigneurie de Rosanbo a successivement appartenu à Yvon du Cozkaër (alias Cosker ou Cosquer), Jean du Cozkaër en 1497, Alain du Cozkaër (qui épouse Amicie Tronson dite dame de Rosanbo), Yves du Cozkaër (procureur du roi à Tréguier qui épouse Françoise de Kernerc’hriou), François du Cozkaër (qui épouse en 1586 Marie de Kercoënt), François du Cozkaër, le fils (qui épouse Marguerite du Parc-Locmaria) et Joseph du Cozkaër (1633-1699), conseiller au parlement de Bretagne qui épouse en 1655 Marie Le Gouvello, fille de conseiller.

Louis II Le Peletier (1662-1730), seigneur de Villeneuve-Le Roy et d’Ablon , conseiller du roi, président à mortier puis premier président du parlement de Paris a épousé en 1688 en première noce Geneviève du Cozkaër, fille unique de Joseph du Cozkaër et de Marie Le Gouvello. A la mort de celle-ci en 1693, Louis II Le Peletier entre en possession - pour son fils Louis III Le Peletier - né en 1690 - des biens hérités de sa femme : Rosanbo, Barac’h, Keruzec, Kerimel, Cabatoux, la prévoté du Pré et les baronnies de Caotfrec et Coatrédrez. Rosanbo passe alors des mains d’une ancienne maison de Bretagne, à une vieille famille parisienne de l’élite judiciaire. En 1699, la terre de Rosanbo est érigée en marquisat par Louis XIV et Louis Le Peletier prend le nom de Louis Le Peletier de Rosanbo.

Louis III Le Peletier de Rosanbo (1690-1770) épouse en 1717 Thérèse Hennequin d'Ecquevilly (1690-1746). Il est l’unique héritier de son grand-père Joseph du Cozkaër décédé en 1699. Vers 1736-1738, il confie les travaux d’agrandissement et d’embellissement du château à l’architecte parisien Louis Joubert d'Orgemont, expert du greffe des bâtiment du roi.

Louis IV Le Peletier (1717-1760) qui a épousé Marie-Claire-Aimée de Mesgrigny d’Aunay hérite de Rosanbo. Sa femme est l’arrière-petite-fille du maréchal de Sébastien Le Prestre de Vauban (1633-1707) ce qui explique la présence des archives personnelles du célèbre ingénieur militaire à Rosanbo.

Louis IV Le Peletier (1747-1794), premier président du parlement de Paris qui a épousé en 1769 Marie-Thérèse de Lamoignon de Malesherbes (1756-1794), fille de Malesherbes, ministre de Louis XVI, hérite à son tour du château de Rosanbo. Le couple a quatre enfants : Aline-Thérèse, Louise-Madeleine, Guillemette et Louis né en 1777. L’ancien ministre Malesherbes séjourne à Rosanbo en septembre 1779. Le service du château est alors réduit à une conciergerie et à un archiviste dont la mission est de conserver les titres et aveux et d’en fournir au besoin des copies. Le 20 août 1780, Louis IV Le Peletier et sa femme honorent Rosanbo de leur présence. Selon les saisons, la famille résidait dans les châteaux de Malherbes, Villeneuve-le-Roi (la reconstruction du château est achevée en 1704 mais il est vendu en 1734), Madrid avec son bois de Boulogne et à l’hôtel de Bondy à Paris. 

Publiée par Daniel Morvan chez Skol Vreizh en 1992, l’étude de la correspondance, des livres de compte et mémoires de Pierre-Marie Grégoire de Guermarquer (en référence à une métairie de Vieux-Marché), régisseur des terres de Louis Le Peletier des de 1776 à 1806 et auparavant négociant, éclaire la vie quotidienne du domaine de Rosanbo de la veille de la Révolution française à l’Empire.

Grand seigneur, absent de Rosanbo car résident à Paris, Louis Le Peletier délègue en effet l’administration de ses domaines à un régisseur, "homme de cabinet" et nécessairement "bon cavalier" pour parcourir les terres et faire collecter les loyers versés en grains à la Saint-Michel (29 septembre). Une fois stockés, les grains sont vendus afin de payer mensuellement l’intendant particulier du seigneur suivant le contrat de régie. Avec les domaines de Rosanbo, Lannion et Tréguier, Pierre-Marie Grégoire de Guermarquer administre plus de 3 000 hectares répartis en huit-cent-vingt fermes. Rosanbo étant "l’un des plus vastes et riches domaines de Bretagne" (Morvan, 1992).

(Inventaire du patrimoine de Lannion-Trégor Communauté, Guillaume Lécuillier, 2021).

Rosanbo, un château parlementaire ?

Le château de Rosanbo compte parmi les demeures parlementaires emblématiques des Côtes-d'Armor, ayant accueilli sur cinq générations des membres influents des Parlements de Bretagne et de Paris.

Cette lignée parlementaire débute avec Joseph du Coskaër (1633-1699), conseiller et commissaire puis conseiller originaire au Parlement de Bretagne entre 1659 et 1686. Héritier d'un domaine familial possédé depuis le 15e siècle, il entreprend de transformer le manoir défensif en château classique, édifiant notamment le pavillon d'angle, l'aile nord, le pavillon ouest et un colombier monumental. Né et mort à Rosanbo, son attachement à ce domaine est manifeste. Sa fille unique, Geneviève du Coskaër, hérite du domaine et épouse en 1688 Louis II Le Peletier (1662-1730), issu d'une famille de noblesse de robe parisienne. Ce magistrat influent devient premier président du Parlement de Paris (1707-1712), une fonction de premier plan dans la hiérarchie judiciaire du royaume. Bien qu'établi à Paris, il ne délaisse pas le château de Rosanbo. Il obtient de Louis XIV l'érection de sa terre bretonne en marquisat en 1699, affirmant ainsi son emprise sur ce domaine acquis par alliance. Son fils, Louis III Le Peletier (1690-1770), également premier président du Parlement de Paris (1736-1743), poursuit cette stratégie d'ancrage territorial en modernisant Rosanbo. Il lui confère une dimension "versaillaise" en engageant l'architecte Louis Joubert d'Orgemont, expert du greffe des bâtiments du roi. L'implication territoriale s'atténue avec Louis IV Le Peletier (1717-1760), président à mortier au Parlement de Paris dès 1736, qui ne séjourne pratiquement jamais à Rosanbo, le transformant en conciergerie gérée par un régisseur. Il renforce néanmoins le prestige familial en épousant l'arrière-petite-fille du maréchal de Vauban. La lignée parlementaire s'achève avec Louis V Le Peletier (1747-1794), président à mortier du Parlement de Paris en 1765, qui conserve le titre de marquis mais ne se rend jamais sur sa terre bretonne, se contentant de visites sporadiques.

L'analyse de ce rapport au domaine révèle une corrélation entre prestige de la charge et attachement au lieu. Joseph du Coskaër, conseiller au Parlement de Bretagne, entretient un lien fort avec Rosanbo, qui constitue à la fois sa résidence, sa source de revenus et le symbole de son ascension sociale. À l'inverse, les Le Peletier, occupant des charges prestigieuses à Paris, y voient davantage une valeur symbolique. Cette opposition mérite toutefois d'être nuancée. Si les deux premiers présidents Le Peletier investissent dans Rosanbo, leurs motivations diffèrent de celles de Joseph du Coskaër. Ce dernier, issu d'une ancienne lignée bretonne, cherche à matérialiser l'ascension sociale de sa famille caractérisée par son intégration comme conseiller au Parlement de Bretagne, institution où seuls 110 membres siègent par session parmi environ 20 000 nobles bretons au 18e siècle. Les Le Peletier, en revanche, s'inscrivent dans une logique de conquête territoriale, marquée par l'érection du marquisat puis la transformation architecturale du château, signalant leur volonté d'affirmer leur autorité sur un territoire longtemps dominé par une puissante famille locale.

L'évolution architecturale de Rosanbo reflète ainsi le passage d'une architecture de prestige à une recherche de confort, caractéristique des demeures aristocratiques des 17e et 18e siècles. Si Joseph du Coskaër amorce la transformation du manoir familial en résidence classique, les Le Peletier opèrent une rupture en investissant massivement dans sa modernisation. En 1736-1738, Louis III Le Peletier confie à l'architecte Louis Joubert d'Orgemont une refonte complète du château dans un style inspiré de Versailles, mêlant esthétisme et confort : pavillons à toitures Mansart, fenêtres en travées régulières, escaliers monumentaux, jeu d'eau en miroir et ornementations en pierre de taille. Cette réalisation peut contraster avec certaines demeures de d’autres parlementaires bretons, aux moyens financiers plus limités.

Rosanbo constitue ainsi un exemple rare de château parlementaire où l'architecture devient vectrice d'affirmation sociale et politique. Pour les Le Peletier, ce domaine breton, malgré son éloignement de Paris, représente un outil de projection d'influence, inscrivant durablement leur nom dans le paysage provincial et compensant leur absence physique par une présence architecturale forte.

Cette lignée parlementaire et ces investissements architecturaux inscrivent Rosanbo parmi les 21 châteaux parlementaires recensés dans les Côtes-d'Armor.

(Enquête thématique régionale, Inventaire des demeures parlementaires en Bretagne - les châteaux de parlementaires en Côtes-d'Armor, Flavie Dupont, 2025)

A l’abri dans un écrin de verdure composé de bois de haute futaie, cette ancienne résidence seigneuriale est située au nord-ouest du bourg de Lanvellec distant de 1300 mètres. Établie à environ 80 mètres au-dessus du niveau de la mer, elle est implantée sur la rive orientale du Dour Elégo, petit affluent du Yar qui se jette dans la baie de Saint-Michel-en-Grève à six kilomètres de là. Le toponyme est orthographié "Rosambô " sur le cadastre de 1813 et "Rosanbo" selon l'Institut Géographique National. En langue bretonne, rosanbo, roz an Bo, signifie littéralement la "pente" ou le "promontoire" sur le Bô. Ce site stratégique aurait accueilli une maison forte avant le manoir primitif.

A l’origine du château actuel, se trouve un manoir de la fin du Moyen-Age, agrandi et modifié au 17e siècle (pavillon d’angle nord-est, aile nord des communs et grand pavillon ouest), dans le deuxième quart du 18e siècle (galerie d’arcade, pavillon sud, chartrier construit en 1738, salle à manger et salon, boiseries et escalier à balustre), à la fin du 19e siècle et au début du 20e siècle (pavillon sud son perron abritant bureau et bibliothèque, interventions néo-gothiques comme le campanile du chartrier). Du manoir primitif subsistent encore certaines parties dont une tour d’escalier.

Destiné à l’élevage des pigeons, le colombier édifié en 1697 (tradition orale ?) a été restauré en 1738 comme l’atteste une inscription.

Ces travaux d’agrandissement du château sont confiés à des architectes de renom, Louis Joubert d'Orgemont de Paris vers 1736-1738, Alain Lafargue vers 1895 ou encore le paysagiste Achille Duchêne vers 1910 pour l’aménagement du parc.

Dans les archives de Rosanbo est conservée une vue perspective du château et de ses environs proches de Louis Joubert, "architecte et expert juré du roi" datée de 1736. On distingue au premier plan, à gauche, le moulin à eau et à droite, la buanderie alimentés par un bief du Dour Elégo, un bois (parcelle n° 422 bis du cadastre de 1813), le potager ou verger en terrasse (parcelle n° 422 bis), le château au centre, son jardin (parcelle n° 422 ter) dont le mur de clôture est déjà couronné de trois petits pavillons de plaisance (n° 423), un jardin en terrasse, la grande avenue, le verger planté d’arbres fruitiers, le colombier et la chapelle. Un des bâtiments figurant sur cette vue, situés immédiatement au nord du château, apparaît comme ruiné sur le cadastre de 1813.

Aménagé vers 1910 dans l’ancien verger clos, le parc de quatre hectares a été dessiné par le paysagiste Achille Duchêne (1866-1947). On y trouve notamment une charmille (haie taillée en topiaire) longue de 2500 mètres, en partie voutée sur 500 mètres, composée de 12 000 pieds de charmes communs (carpinus betulus). Allée cavalière périphérique, piste de galop, manège et "tribune des dames", rond de longe (pour le débourrage des chevaux et le dressage) ont été conçus pour la pratique équestre. Miroir d’eau, allées, salles et tapis de verdure (salles des Vases, du Lion – avec une réplique du lion de Baryre -, de la Naïade, du Cerf, des Marmousets), et statues (dont le Sanglier de 1942 symbole des Rosanbo) ont été créés pour le plaisir des yeux.

Le château de Rosanbo a été inscrit au titre des Monuments historiques en 1930, son parc inscrit en 1995.

Alain Le Peletier, marquis de Rosanbo a ouvert le château au public en 1958.

Une aile du château a été ravagé par un incendie en 1967.

Le labyrinthe de charmes palissadés a été créé en 2009.

(Inventaire du patrimoine de Lannion-Trégor Communauté, Guillaume Lécuillier, 2021).

Au bout de l’avenue cavalière se dresse un portail de style gothique, percé d’une porte charretière et surmonté d’un clocheton, donnant accès à l’avant-cour du château. Du château actuel, reconstruit sur le manoir, dépendent un parc et jardin, des écuries avec remise pour les attelages et des dépendances identifiés localement comme "bergeries". Un peu plus loin se dresse la métairie du château.

Affectant la forme d’un quadrilatère irrégulier flanqués de pavillons, le château s’organise autour d’une cour d’honneur à laquelle on accède par une porte charretière située au nord-est dans l’axe principal du jardin. On y trouve : logis, bureau et bibliothèque (au sud), chapelle, chartrier voûté à contrefort (angle-sud-est), galerie d’arcade et communs au nord. Au centre de la cour se dresse un puits à margelle circulaire.

Au sud, le jardin clos de mur, surmonté de trois petits pavillons de plaisance, se pare d’un miroir d’eau faisant se refléter la façade sud du château. Le jardin domine des terrasses aménagées sur différents niveaux accessibles par des escaliers ou rampes.

(Inventaire du patrimoine de Lannion-Trégor Communauté, Guillaume Lécuillier, 2021).

  • Murs
    • granite moellon
    • pierre de taille
  • Toits
    ardoise
  • Étages
    1 étage carré, étage en surcroît
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit brisé en pavillon
  • Escaliers
    • escalier intérieur : escalier en équerre en charpente
    • escalier demi-hors-oeuvre : escalier en vis avec jour en maçonnerie
  • Jardins
    salle de verdure, parterre, pelouse, groupe d'arbres, topiaire, labyrinthe de jardin
  • État de conservation
    bon état
  • Techniques
    • sculpture
  • Représentations
    • armoiries, mascaron
  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Éléments remarquables
    château, jardin, parc
  • Protections
    inscrit MH, 1930/03/22
    inscrit MH, 1995/03/20
  • Précisions sur la protection

    Château : inscription par arrêté du 22 mars 1930 - Colombier et jardins ; grand et petit parc, incluant notamment l' ensemble des terrasses et la statuaire (cad. A 206 à 211, 213, 303) : inscription par arrêté du 20 mars 1995.

  • Référence MH

Bibliographie

  • B. R. Le château de Rosanbo. Côtes-du-Nord. Bretagne. Imprimerie SAEP, Ingersheim, 1981, n. p.

  • MORVAN, Daniel. Rosanbo. La Guerche, éditions Ouest France, 1990, 32 p.

  • MORVAN, Daniel. L’œil du maître. Rosanbo, une seigneurie au quotidien. 1776-1806. Morlaix, Skol Vreizh, n° 24, 1992, 84 p.

  • RIOULT Jean-Jacques. Article "Rosanbo", p. 417, in Ministère de la Culture et de la communication, Direction régionale des affaires culturelles de Bretagne, Service de l´Inventaire général, Collectif (sous la dir. de Jean-Marie Pérouse de Montclos), Dictionnaire. Guide du patrimoine. Bretagne. Paris, Centre des Monuments nationaux / Monum, éditions du Patrimoines, 2002, 531 p.

  • MORVAN, Daniel. Le château de Rosanbo. Ouest France, 2013.

Annexes

  • Notice des Monuments Historiques extraite de la base Mérimée (PA00089300 ; 1992)
  • Iconographie
  • Article "Rosanbo". Dictionnaire. Guide du patrimoine. Bretagne. 2002
  • Inventaire de succession de 1803 cité par Daniel Morvan
Date(s) d'enquête : 2010; Date(s) de rédaction : 2012, 2021, 2025
(c) Région Bretagne
(c) Université de Rennes 2
(c) Vieilles Maisons Françaises (VMF)
Lécuillier Guillaume
Lécuillier Guillaume

Chargé d'études d'Inventaire du patrimoine à la Région Bretagne.

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Dupont Flavie
Dupont Flavie

Etudiante à l'Université Rennes 2, master 2 Histoire, civilisations et patrimoine double parcours Histoire et Sciences-sociales et parcours Médiation du Patrimoine de l'Histoire et des Territoires.

Dans le cadre d'une étude sur les châteaux parlementaires costarmoricains pour la réalisation d'un mémoire de recherche historique sur les châteaux habités par des parlementaires bretons. En partenariat avec l'association VMF et la Région Bretagne.

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