Photographe à l'Inventaire
- enquête thématique régionale, Inventaire des fortifications littorales de Bretagne
- enquête thématique régionale, Inventaire des héritages militaires en Bretagne
Dossier non géolocalisé
-
Aire d'étude et canton
Bretagne - Guipavas
-
Hydrographies
L'Elorn
Anse de Kerhuon
-
Commune
Guipavas
-
Lieu-dit
Saint-Nicolas
-
Cadastre
OD
438
;
OD
1175
-
Commune
Le Relecq-Kerhuon
-
Lieu-dit
Anse de Kerhuon
-
Adresse
Rue Jean Jaurès
-
Cadastre
BK
02
Anse de Kerhuon ;
BK
04
-
Dénominationsusine de produits explosifs, usine d'armes, poudrière, magasin de munitions, édifice logistique
Depuis la fin du 18e siècle et durant le 19e siècle, l’anse de Kerhuon sert de "parc à bois" pour la Marine qui a acquis l’anse, quelques parcelles aux alentours et aménagé une digue avec une écluse. Inaugurée en 1865, la voie ferrée Paris-Brest franchit l’anse par un viaduc de 200 m de longueur.
Après une première expropriation de 1,78 ha le 15 décembre 1877 pour créer sur la pointe de Saint-Nicolas ce qui va devenir l’établissement de la pyrotechnie avec des activités de fabrication et d'assemblage de munition, puis une expropriation de 7,62 ha en 1879 pour aménager dans la vallée de Kerhuon des poudrières, d’autres expropriations ont lieu pour permettre l’accroissement du site et sa connexion avec la voie ferrée Paris-Brest. La pyrotechnie doit son nom à la chapelle seigneuriale Saint-Nicolas (ce saint est le patron des marins et batelier).
Les magasins à poudre dits "poudrières" de la vallée de Kerhuon, reliés par une nouvelle voie ferrée à la ligne Paris-Brest depuis la gare de Kerhuon, sont les héritiers des magasins à poudre de l’île des Morts (1808-1814), eux-mêmes héritiers du magasin à poudre de l’île d’Arun (1693-1694). Dans leurs dispositions, ils sont quasiment identiques à ceux de la pyrotechnie du vallon du Nardouet à Cherbourg (1877-1878), à ceux du Mentec (1878) et de Sac'h Quéven (1883) à Quéven près de Lorient ou à celui implanté à l’extérieur de la pyrotechnie de Vergeroux près de Rochefort (1883).
Un reportage photographique de Victor Dietsch montre l’activité des ateliers de la pyrotechnie de Saint-Nicolas durant la Première Guerre mondiale : plus de 2 000 femmes y travaillent alors, soit les deux tiers de l’effectif. Tous les ateliers et magasins sont alors desservis par des voies ferrées étroites.
Appartenant au Service interarmées des munitions (SIMu), l’Établissement principal des munitions Bretagne comporte une direction et un groupement munitions dans la pyrotechnie de Saint-Nicolas, et une section munitions à Coëtquidan.
L’intérêt historique du site de la pyrotechnie de Saint-Nicolas est de conserver, utiliser et faire coexister des bâtiments de différentes fonctions - magasins, ateliers, logements - construits à différentes époques. Les murs de clôture participent aussi de la compréhension du fonctionnement de la pyrotechnie. Dans le patio du Pôle direction et administration inauguré en 2022 est conservé une presse industrielle fabriquée par les établissements Saÿn-Paris en 1892 surnommée "la Doyenne". Jusqu'en 1992, cette machine-outil servait au reformatage des douilles de 100 mm.
Créé en 2009 à l'occasion de la publication intitulée "Les fortifications de la rade de Brest : défense d'une ville-arsenal" (2011), ce dossier d’Inventaire du patrimoine a été mis à jour en 2025 dans le cadre de l'Inventaire des héritages militaires porté par la Région Bretagne après une visite organisée par l’Association "1846", la fortification du 19e siècle, connaître et partager. Certains bâtiments ou éléments à caractère patrimonial ont fait l’objet d'une couverture photographique officielle en 2009 et 2025 sous le contrôle du Ministère des Armées.
L’anse de Kerhuon et la pointe de Saint-Nicolas
Située au nord de la rivière de Landerneau, l’anse de Kerhuon sert de port d’échouage aux pêcheurs de Kerhorre et des hameaux alentours. Acquise par la Marine royale au 18e siècle (1786), l’anse devient un "parc à bois" pour les constructions navales (l’immersion dans l’eau saumâtre préserve le bois).
Réalisé en 1828, le cadastre parcellaire de Guipavas figure l’anse de Kerhuon et plusieurs lieux-dits sur la pointe dite de Saint-Nicolas : du nord au sud, Lesquibou, Kerhuon (château et dépendances), Kersalous, Saint-Nicolas et Kergoat. La chapelle Saint-Nicolas et sa croix sont implantées le long de la route qui descend de Chapelle Croix à la Maison blanche. L’anse de Kerhuon est fermée par une digue dotée d'une écluse avec logement. Au nord de l’anse se trouve les deux moulins de Kerhuon. L’anse de Kerhuon (section D2 : n° 1136), le lieu-dit Kerhuon (section D2 : n° 726-728), certaines parcelles de la pointe de Saint-Nicolas - situées le long de l’anse et identifiées comme le "chantier de Kerhuon" appartiennent à l’Etat à cette date (section D2 : n° 1121-1124).
Permettant à la voie ferrée Paris-Brest de franchir l’anse, le viaduc ferroviaire de Kerhuon est édifié entre 1861 et 1865. La gare de Kerhuon est construite immédiatement à l’ouest du viaduc. Passant par la vallée de Kerhuon, une route relie la gare au bourg de Guipavas situé au nord. Vers le sud, la route relie la gare au lieu-dit le Passage desservant par voie maritime la presqu’île de Plougastel.
Une photographie de 1863 montre les pieux de soutènement du parc à bois (on dit que les bois sont enclavés) avec en arrière-plan le viaduc. Revendue par l’État en 1898, l’anse de Kerhuon, d’une surface de 42 ha (et le chemin à l’ouest, n° 914) est de nouveau acquise par l’État en 1917 par expropriation de Marie-Adèle Bonamy (1864-1938), épouse de Roger Paulze d’Ivoy de la Poype, propriétaire du château de Kerhuon.
Jusqu’à son détachement en 1896, Le Relecq-Kerhuon fait partie de la commune de Guipavas.
Le dépôt de poudre de la pointe de Saint-Nicolas (1877, expropriation de 1,78 ha)
La date de 1868, donnée par l’Index de la fortification française et reprise par tous - y compris nous en 2011 (voir bibliographie) - ne correspond vraisemblablement pas à la construction des installations.
Par décret du 15 décembre 1877, des parcelles de terrain de la commune de Guipavas sont soumises à l'expropriation pour cause d'utilité publique pour la construction d’un dépôt de poudre sur la pointe de Saint-Nicolas. Cette acquisition représente au total 1,78 ha.
Le 20 juillet 1885, 18 bâtiments (casernes, ateliers et magasins à poudre) clos de hauts murs et un mole doté de deux grues sont photographiés par l’atelier photographique de l’arsenal de Brest.
Les magasins à poudre de la vallée de Kerhuon (1879, expropriation de 7,62 ha)
Par décret du 3 novembre 1879, publié le 5 décembre dans le Bulletin des lois de la République Française, 26 parcelles de terrain de la commune de Guipavas, pour un total de 7,62 ha, sont "soumises à l’expropriation pour cause d’utilité publique" pour la "construction des nouveaux magasins à poudre de la Marine militaire au port de Brest et des voies ferrées destinées à relier ces magasins entre eux et à la gare de Kerhuon". Le décret précise qu’il y a "urgence à prendre possession des terrains".
Cités dans le décret, les numéros des parcelles correspondent à l’ouest de la vallée de Kerhuon (section D2 et D3 : n° 498, 501, 525, 528-529, 1148-1151, 1156-1157, 1211-1212, 1218-1220, 1222-1224, 1228-1230 et 1241 et section I1 : 466-468).
Les travaux commencent immédiatement après l’ordonnance du 14 juin 1880. Les indemnités aux propriétaires expropriés sont fixées en octobre de la même année.
Des emprises complémentaires sont acquises en 1883.
Les magasin à poudre n° 1 et n° 3 de la vallée de Kerhuon sont photographiés en 1885 par l’atelier photographique de l’arsenal de Brest.
Ce nouveau dépôt des poudres de la Marine - composé de trois grands magasins à poudre reliés à la ligne Paris-Brest par une voie normale - succède aux magasins à poudre de l’île des Morts construits de 1808 à 1814, devenus vulnérables en raison de l’augmentation de la portée de l'artillerie embarquée.
Les magasins à poudre sont gardés par des détachements d’Infanterie de marine.
L’établissement de la pointe de Saint-Nicolas en 1905 (7,46 ha)
Par décret du 26 septembre 1905, des parcelles de terrain de la commune de Guipavas, pour un total de 7,46 ha, sont "soumises à l’expropriation pour cause d’utilité publique" pour "l’extension projetée de l’établissement de l’artillerie navale de Saint-Nicolas".
Cités dans le décret, les numéros des parcelles correspondent à la pointe de Saint-Nicolas et plus particulièrement au sud du lieu-dit Kergoat jusqu’à l’Elorn (section D2 : n° 1083-1087, 1109-1110, 1112-1120, 1126, 1128, 1133-1135).
En 1907, la pyrotechnie fait travailler 115 ouvriers dont 70 femmes.
En 1909, la pyrotechnie est dotée de nouveaux ateliers où doit s’effectuer le chargement de gros obus à la mélinite coulée (cette opération se faisait auparavant à Lorient).
L’avant-projet d’un "port d’embarquement des munitions" est approuvé par le ministre de la Marine. Les travaux comprennent l’achat des terrains (350 000 fr.), la construction d’un port d’embarquement avec un quai de 200 m de longueur (1 000 000 fr.), la construction de 40 magasins (800 000 fr.), l’achat de grues (150 000 fr.) et l’installation d’une voie ferrée (150 000 fr.).
L’agrandissement de 1910 (13,56 ha)
Par décret du 13 septembre 1910, des parcelles de terrain de la commune de Guipavas, pour un total de 13,56 ha, sont de nouveau "soumises à l’expropriation pour cause d’utilité publique" pour "l’agrandissement de la pyrotechnie de la marine à Saint-Nicolas".
Les numéros des parcelles correspondent à la pointe de Saint-Nicolas et plus particulièrement aux lieux-dits Kersalous, Kergoat (section D2 : n° 1018-1023, 1044-1057, 1059-1060, 1079-1084 ; 1087, 1114, 1116, 1119-1120, 1125-1134).
Entre 1910 et 1914, 16 nouveaux bâtiments sont construits ; un terre-plein est gagné sur l’Elorn pour recevoir le port d’embarquement des munitions. Une chaussée est aménagée en 1913 sur la digue de l’étang de Kerhuon nommée Le Stear (ster signifie rivière en breton).
Durant la Première Guerre mondiale, le nombre d’ouvriers est multiplié par dix passant de 300 à 3 000. Les deux tiers sont des femmes.
Dans l’enceinte de la pyrotechnie, ateliers et magasins sont desservis par des voies ferrées étroites de type Decauville (cf. reportage photographique sur les activités du port de Brest en mars 1916).
L’agrandissement de 1916 (0,70 ha)
Par décret du 11 mars 1916, des parcelles de terrain de la commune de Guipavas, pour un total de 0,70 ha sont soumises à "expropriation pour cause d’utilité publique" pour la "construction d’une ligne de chemin de fer reliant la pyrotechnie de Saint-Nicolas à la gare de Kerhuon".
Il s’agit cette fois de parcelles situées au nord-ouest de la pointe de Saint-Nicolas vers les lieux-dits Kerhuon, Lesquibou et Kersalous (section D2 : 957-958, 982-983, 986, 993-994, 997, 1012 et 1014-1015). Ce deuxième embranchement relie la pyrotechnie de Saint-Nicolas à la voie de chemin de fer Paris-Brest.
L’agrandissement de 1917 (0,58 ha)
Par décret du 1er janvier 1917, des parcelles de terrain de la commune de Guipavas, pour un total de 0,58 ha sont soumises à expropriation pour "l’exécution de travaux destinés à l’augmentation des ressources en eau de l’établissement de la pyrotechnie de Saint-Nicolas".
Il s’agit de parcelles situées au nord-est de la pointe de Saint-Nicolas, au-delà de la ligne de chemin de fer (section D1 : 106-110, 128, 207, 223-224, 282-284, 286-288).
L’agrandissement de 1917 (71,43 ha)
Par décret du 24 novembre 1917, l’anse de Kerhuon, plusieurs fermes - Saint-Nicolas, Kerdidrun, Lesquibou, Kersalou et Kerléon [sic], la métairie et le château de Kerhuon appartenant à la famille Paulze d’Ivoy de la Poype et des terres pour un total de 71,43 ha sont annexés à la pyrotechnie par expropriation. Il s’agit du plus grand agrandissement de la pyrotechnie de Saint-Nicolas avec de plus, l’installation de nouvelles voies ferrées reliées à la ligne Paris-Brest par un troisième embranchement.
En 1918, la pyrotechnie compte 62 bâtiments.
L’entre-deux-guerres
En 1923, la direction d’artillerie navale de Brest comprend deux sections de travaux : la section technique, à l’arsenal principal ; la section de pyrotechnie et des magasins à munitions constituée par la pyrotechnie de Saint-Nicolas.
Au 1er janvier 1929, l'effectif de la pyrotechnie de Saint-Nicolas est de 249 ouvriers et 50 ouvrières (Castel, 1934).
[Nous n’avons pas pu retrouver le décret d’expropriation de 1936 concernant 8 ha.]
En 1939, la pyrotechnie de Saint-Nicolas compte 129 bâtiments pour un effectif de 700 ouvriers, dont 70 femmes.
La Seconde Guerre mondiale
Durant la Seconde Guerre mondiale, la pyrotechnie fonctionne au service de l’Allemagne nazie. Des galeries de stockage sont creusées dans les falaises. Dans la nuit du 21 au 22 novembre 1942, la chapelle Saint-Nicolas est détruite par incendie. Le château de Kerhuon est incendié en 1944 par les troupes d'occupation.
La Guerre froide et les guerres contemporaines
Dans la seconde moitié du 20e siècle, des magasins souterrains sont créés pour entreposer des munitions. L’emprise militaire est une nouvelle fois agrandie.
Dans le premier quart du 21e siècle, le site de la pyrotechnie de Saint-Nicolas fait l’objet d’importants travaux de modernisation. La disposition des lieux, l'éloignement relatif des magasins entre eux et la canalisation de l´effet de souffle par la création de merlons pare-éclats permet d’éviter toute détonation par influence.
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Période(s)
- Principale : 4e quart 19e siècle
- Secondaire : 20e siècle, 1er quart 21e siècle
L’établissement de la pyrotechnie de Saint-Nicolas à Guipavas comprend des parcelles situées le long de la vallée de Kerhuon (50,7 ha en 2025), la pointe située à l’est de l’anse de Kerhuon (70,92 ha en 2025), l’anse de Kerhuon (38,51 ha en 2025) et une partie de la berge ouest (1,24 ha en 2025). En 2025, l’emprise militaire de la pyrotechnie représente ainsi 161,37 ha de superficie auxquels on peut ajouter les parcelles des anciennes voies ferrées à l’est (2,98 ha en 2025).
La pyrotechnie était historiquement desservie par des voies ferrées reliées par trois embranchements à la voie ferrée Paris-Brest. Un pont situé à proximité de la poudrière n° 1 permettait à la voie ferrée de la vallée de Kerhuon de franchir la route départemental n° 67.
Pour l'avitaillement des navires de guerre, l'établissement est doté d'un port militaire sur l’Elorn. Son accès se fait également par voie routière via la digue depuis Le Relecq-Kerhuon. Une entrée secondaire existe au nord de la vallée de Kerhuon.
Les bâtiments ou ensembles de bâtiment de la pyrotechnie sont clos par des murs faisant enceinte de sûreté. On trouve différents édifices logistiques dont des magasins à poudre, des magasins de munitions, des ateliers, des casernes et des logements.
Certains magasins de munitions disposent de merlons faisant buttes anti-souffle.
Situé dans l’emprise militaire, le château de Kerhuon et ses dépendances sont désaffectés.
Le site de la pyrotechnie de Saint-Nicolas est arboré.
Les magasins à poudre implantés à l’ouest de la vallée de Kerhuon
Etat primitif (vers 1880)
Quatre magasins à poudre* - trois grands (n° 1, 2 et 3) et un plus petit (n° 2 bis) - sont implantés à l'ouest de la vallée de Kerhuon. Ils sont desservis par une voie ferroviaire depuis la gare de Kerhuon.
Chaque magasin à poudre est entouré par un haut mur en maçonnerie de moellon suivant le relief et délimitant une enceinte de sûreté. L’entrée se fait par une porte charretière encadrée de deux piliers en pierre de taille.
Les trois grands magasins à poudre mesurent 66 m x 15,7 m hors tout. La surface totale additionnée du rez-de-chaussée et de l'étage avoisine 845 m2. Construits en maçonnerie de moellon (murs gouttereaux de 3,65 m d’épaisseur) avec soubassements, chaînages d’angle et entourages des ouvertures en pierre de taille de granite (avec fenêtres à linteau en arc segmentaire), les magasins sont voûtés en maçonnerie et couverts à deux pans et croupes en tuile. Ils sont dotés d’un sas d'entrée à chaque extrémité, de gaines de ventilation en sous-sol, d'évents d'aération et de créneaux à lampe permettant de donner artificiellement de la lumière aux espaces de stockage via une chambre d´éclairage.
Leur enceinte de sûreté mesure chacune 3 000 m2 de superficie.
Selon l´Index de la fortification française, 1874-1914 (voir bibliographie), chaque grand magasin de la vallée de Kerhuon avait une capacité de 160 t de poudre.
Le magasin n° 2 bis est plus petit. Son enceinte de sûreté mesure 1500 m2 de superficie.
* Pour des raisons historiques, nous avons choisi de numéroter les magasins à poudre du sud au nord.
État en 2025
La voie ferrée desservant les magasins à poudre de la vallée de Kerhuon n’existe plus. Les magasins à poudre sont desservis par une route.
Le magasin à poudre n° 1 (situé le plus au sud) :
Ce bâtiment a été remanié.
Le magasin à poudre n° 2 :
En bon état, ce magasin à poudre est désaffecté. Il a conservé ses dispositions d´origine : enceinte de sûreté avec portail, deux sas d’entrée, planchers et escaliers en chêne, voûte et lambris en châtaignier (ou épicéa commun dit spruce ?). Il dispose toujours de ses huit créneaux de lampe à vitre et trois fenêtres dotées de leurs huisseries originelles, desservis par une chambre d'éclairage à chaque pignon. Sa couverture en tuile à deux pans et croupes sur charpente semble d'origine. Les cinq paratonnerres ont disparu mais leurs supports sont en place.
Une guérite couverte en appentis est accolée au sas oriental.
Le magasin à poudre n° 3 (situé le plus au nord) :
En bon état, ce magasin à poudre est désaffecté. Il a également conservé ses dispositions d'origine.
Le magasin à poudre n° 2 bis :
Ce bâtiment a été détruit.
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Murs
- granite moellon enduit
- gneiss moellon enduit
- maçonnerie
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Toitstuile mécanique
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Plansplan allongé
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Étagesrez-de-chaussée, 1 étage carré
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Couvrements
- voûte en berceau plein-cintre
- lambris de couvrement
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Élévations extérieuresélévation ordonnancée
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Couvertures
- toit à deux pans croupe
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours sans jour en charpente
- escalier dans-oeuvre : escalier en vis avec jour en maçonnerie
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État de conservationbon état, remanié, inégal suivant les parties
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Mesures
- l : 66 m (magasin à poudre n° 1, 2 et 3 / longueur hors tout avec le sas)
- la : 15,7 m (magasin à poudre n° 1, 2 et 3 / largeur hors tout)
- h : 13,1 m (magasin à poudre n° 1, 2 et 3)
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Précision dimensions
Les trois grands magasins à poudre de la vallée de Kerhuon mesurent 66 m de longueur par 15,7 m de largeur pour 13,1 m de hauteur hors tout (mesures d'après un plan daté du 5 décembre 1940). La surface de leur enceinte de sûreté est de 3 000 m2.
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Statut de la propriétépropriété de l'Etat, parcelles appartenant au ministère des Armées.
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Intérêt de l'œuvrevestiges de guerre, à signaler
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Éléments remarquablesédifice logistique, magasin de munitions
La pyrotechnie de Saint-Nicolas, les poudrières et magasins souterrains de la vallée de Kerhuon disposent d’un "polygone d’isolement" dans le cadre du plan de prévention des risques technologiques (PPRT).
- (c) Conseil départemental du Finistère
- (c) Conseil départemental du Finistère
- (c) Ville de Brest et Brest Métropole Océane
- (c) Collection particulière
- (c) Musée national de la Marine
- (c) Collection particulière
- (c) Collection particulière
- (c) Ville de Brest et Brest Métropole Océane
- (c) Collection particulière
- (c) Collection particulière
- (c) Collection particulière
- (c) Etablissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (Ivry-sur-Seine)
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- (c) Ville de Brest et Brest Métropole Océane
- (c) Ville de Brest et Brest Métropole Océane
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- (c) Collection particulière
- (c) Région Bretagne
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- (c) Région Bretagne
- (c) Région Bretagne
Documents d'archives
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Plan parcellaire des terrains à acquérir pour la construction d’un dépôt de poudre dans l’anse Saint-Nicolas, à Guipavas. 1877.
https://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr/sites/default/files/notices_files/SHDMV_REP_AA-1AA.pdf
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Acquisition de parcelles et parties de parcelles sur la commune de Guipavas pour l’établissement de Pyrotechnie de Saint-Nicolas. 1917.
https://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr/sites/default/files/notices_files/SHDMV_REP_AA-1AA.pdf
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Acquisition de terrains situés dans la commune de Guipavas pour l’établissement de Pyrotechnie de Saint-Nicolas. 1917.
https://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr/sites/default/files/notices_files/SHDMV_REP_AA-1AA.pdf
Bibliographie
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Décret du président de la République française relatif à l'expropriation pour cause d'utilité publique de terrains inscrits à la section D de la matrice cadastrale de la commune de Guipavas (décret n° 6717, publié le 15 décembre 1877). Bulletin des lois de la République française. Paris : Imprimerie nationale. Douzième série, premier semestre de 1878 contenant les lois et décrets d’intérêt public et général publiés depuis le 1er janvier jusqu'au 30 juin 1878, partie principale tome 16, n° 360 à 396, 893 p.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k213546n/f190.item
p. 167 -
"Décret relatif à l'expropriation de vingt-six parcelles de terrain sises commune de Guipavas pour la construction des nouveaux magasins à poudre de la marine militaire au port de Brest et des voies ferrées destinées à relier ces magasins entre eux et à la gare de Kerhuon" (décret n° 8597, publié le 5 décembre 1879). Bulletin des lois de la République française. Paris : Imprimerie nationale. Douzième série, deuxième semestre de 1879, contenant les lois et décrets d’intérêt public et général publiés depuis le 1er juillet jusqu'au 31 décembre 1879, partie principale tome 19, n° 457 à 497, 1271 p.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k214107p/f849.item.r=guipavas.zoom
p. XXV ; p. 828 -
DALLOZ, Désiré, VACHER DE TOURNEMINE, Charles. Jurisprudence générale du royaume en matière civile, commerciale et criminelle : ou Journal des audiences de la Cour de cassation et des Cours royales. Paris : Bureau de la Jurisprudence générale, deuxième partie, 1884, 232 p.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5498456p/f70.image.r=Guipavas.langFR
p. 70 -
"Décret relatif à l'expropriation de terrains à acquérir dans la commune de Guipavas (Finistère) pour l'agrandissement de l’établissement de l’artillerie navale de Saint-Nicolas" (décret, 26 septembre 1905)". Journal officiel de la République française, n° 266, dimanche 1er octobre 1905, 5860 p.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62592595/f15.item.r=Guipavas.zoom
p. 5829 ; p. 5843 -
"Décret relatif à l'expropriation de terrains à acquérir dans la commune de Guipavas (Finistère) pour l'agrandissement de la pyrotechnie de la Marine à Saint-Nicolas " (décret, 13 septembre 1910)". Journal officiel de la République française. Lois et décrets, 15 septembre 1910.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k63844905/f10.item.r=Guipavas.zoom
p. 7690 -
"Décret portant expropriation pour cause d’utilité publique de terrains dans la communes de Guipavas (Finistère) nécessaires à la construction d’une ligne de chemins de fer reliant la pyrotechnie de Saint-Nicolas à la gare de Kerhuon" (décret n° 25144, 11 mars 1916). Paris : Imprimerie nationale. France. Ministère de la marine et des colonies, Bulletin officiel de la Marine, n° 9, 1916, 483 p.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6210950z/f6.item.r=pyrotechnie%20Guipavas
p. 458-460 -
"Décret portant expropriation pour cause d’utilité publique des terrains nécessaires pour l’exécution de travaux destinés à l’augmentation des ressources en eau de l’établissement de la pyrotechnie de Saint-Nicolas" (décret du 1er janvier 1917). Paris : Imprimerie nationale. France. Ministère de la marine et des colonies, Bulletin officiel de la Marine, n° 1, 1917, 27 p.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6210156p/f39.item.r=guipavas%20expropriation#
p. 1 -
"Décret portant expropriation pour cause d’utilité publique des terrains nécessaires pour l’agrandissement de la pyrotechnie de Saint-Nicolas" (décret du 24 novembre 1917). Journal officiel de la République française. Lois et décrets, 29 novembre 1917.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6355768v/f15.item.r=guipavas.zoom
p. 9619-9620 -
QUENTEL Raymond. L'histoire du Relecq-Kerhuon et des Kerhorres. Tome 2, 1997, 425 p.
-
FRIJNS, Marco, MALCHAIR, Luc, MOULINS, Jean-Jacques, PUELINCKX, Jean. Index de la fortification française. Métropole et Outre-mer. 1874-1914. Vottem (Belgique) : autoédition, 2008, 832 p.
p. 476-477 -
LIGUE POUR LA PROTECTION DES OISEAUX BRETAGNE. La Pyrotechnie Saint-Nicolas. Le Relecq-Kerhuon (29). Accompagnement dérogation Espèce Protégée. Étude naturaliste avant travaux. Août 2019, 21 p.
https://www.finistere.gouv.fr/contenu/telechargement/37875/278638/file/Rapport++LPO_Accompagnement+d%C3%A9rogation+esp%C3%A8ce+prot%C3%A9g%C3%A9e_Pyrotechnie+StNicolas_10022020+%281%29.pdf
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LÉCUILLIER, Guillaume (dir.), BESSELIÈVRE, Jean-Yves, BOULAIRE, Alain, CADIOU, Didier, CORVISIER, Christian, JADÉ, Patrick. Les fortifications de la rade de Brest : défense d'une ville-arsenal. Rennes : éditions Presses Universitaires de Rennes, collection Cahiers du patrimoine, 2011, n° 94, 388 p.
p. 292-295
Périodiques
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CASTEL, S. "Brest, étude de géographie urbaine (Suite) [Chapitre VI. L'arsenal maritime de Brest]" in: Annales de Bretagne. Tome 41, numéro 1-2, 1934. p. 7-72.
https://www.persee.fr/doc/abpo_0003-391x_1934_num_41_1_1713
p. 22 ; p. 26-27 -
CATHERINE, Jean-claude. "Face à la Kriegsmarine : marins et personnels d'arsenaux à Lorient, Brest et Wiesbaden" in: Revue Historique des Armées, n° 195, 1994. Libération et Résistance. pp. 88-110.
https://www.persee.fr/doc/rharm_0035-3299_1994_num_195_2_4356
p. 99-100
Documents figurés
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ATELIER PHOTOGRAPHIQUE DE L'ARSENAL DE BREST. Dépôt central des poudres de la vallée de Kerhuon. Vue prise de la route de Guipavas. Poudrière 1. 1885.
https://mnm.webmuseo.com:8443/ws/musee-national-marine/app/collection/record/10119
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DIETSCH, Victor. Reportage photographique sur les activités du port de Brest en mars 1916 : le travail à l'arsenal, dans le port de commerce ; les mouvements de navires en rade.
https://imagesdefense.gouv.fr/fr/les-activites-du-port-de-brest-le-travail-a-l-arsenal-dans-le-port-de-commerce-les-mouvements-de-navires-en-rade.html
Documents multimédia
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BOUCHER, Michel. "Coup d’œil dans le rétro : Saint-Nicolas et sa pyrotechnie". Guipavas : Le mensuel Guipavas, 2018.
https://guipavas.bzh/fileadmin/documents/Histoire/GLM_web-029-p05.pdf
p. 5 -
"Usines de guerre, Kerhuon : poudrerie du Moulin-Blanc et Guipavas : pyrotechnie St Nicolas", 28 décembre 2023.
https://87dit.canalblog.com/archives/2017/01/11/34775904.html
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"L’Anse de Kerhuon" sur le site internet de la commune du Relecq-Kerhuon.
https://www.lerelecqkerhuon.bzh/environnement-et-cadre-de-vie/histoire-et-patrimoine/lanse-de-kerhuon
Lien web
- Plan de l'anse de Kerhuon par François Vidal d'Audrifet, 1775 (collection de la Bibliothèque nationale de France). Il localise la fosse aux mâts (A) et bateau plat faisant magasin aux ustenciles
- Vue de la construction du viaduc ferroviaire de Kerhuon, 1862 (collection de la Bibliothèque nationale de France). Au premier plan, le parc à bois de la Marine
- La pyrotechnie de Saint-Nicolas dans les collections des Archives de Brest, Métropole et Ville : carte postale
- La pyrotechnie de Saint-Nicolas dans les collections de l'Établissement de Communication et de Production Audiovisuelle de la Défense
- La pyrotechnie de Saint-Nicolas dans les collections des Archives de Brest, Métropole et Ville : carte postale Jack (vue aérienne oblique)
- La pyrotechnie de Saint-Nicolas dans les collections des Archives de Brest, Métropole et Ville : carte postale (vue aérienne oblique)
- La pyrotechnie de Saint-Nicolas dans les collections des Archives de Brest, Métropole et Ville : carte postale La Cigogne (vue aérienne oblique)
- La pyrotechnie de Saint-Nicolas dans les collections du Musée de Bretagne (vue aérienne oblique)
- Photographies des magasins à poudre de la pyrotechnie de Saint-Nicolas dans la photothèque du patrimoine de la Région Bretagne
- "Les risques du métier [de] poudrier", film de Jacques Meny pour l'établissement cinématographique et photographique des armées, 1971
- Coup d’œil dans le rétro : Saint-Nicolas et sa pyrotechnie, Le mensuel Guipavas (article de Michel Boucher, 2018)
- "L’Anse de Kerhuon" sur le site internet de la commune du Relecq-Kerhuon
- Article "Guipavas. La pyrotechnie Saint-Nicolas prend un beau coup de jeune" dans le journal Ouest France, 05/04/2022
Annexes
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Description du Parc aux bois de l'anse Kerhuon in Les ports militaires de la France - Brest - Établissements de la marine Revue maritime et coloniale, 1866
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Extrait de "Brest, étude de géographie urbaine (Suite)" par Castel, 1934
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Extrait de l'Index de la fortification française, 1874-1914 (2008)
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Service historique de la Défense de Brest : Direction des travaux maritimes de Brest, dossiers de marchés publics de travaux (1884-1941)
Chargé d'études d'Inventaire du patrimoine à la Région Bretagne.
Magasin à poudre dit poudrière de Sac'h Quéven (Quéven)
Lieu-dit : Sac'h Quéven
Magasin à poudre dit poudrière de l'île d'Arun (Rosnoën)
Lieu-dit : Ile d'Arun
Magasin à poudre dit poudrière du Mentec et bâtiment de commandement (Quéven)
Lieu-dit : le Mentec
Magasins à poudre dits poudrières de l'île des Morts (Crozon)
Lieu-dit : Ile des Morts
Usine de produits explosifs dite poudrerie de Pont-de-Buis (Pont-de-Buis-lès-Quimerch)
Adresse : Pont-de-Buis
Chargé d'études d'Inventaire du patrimoine à la Région Bretagne.