Dossier d’opération IA56132133 | Réalisé par
Jadé Patrick (Contributeur)
Jadé Patrick

Historien, président de l'Association "1846, La fortification du 19e siècle : connaître et partager".

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  • enquête thématique régionale, Inventaire des fortifications littorales 1830-1870 dans les îles de Bretagne Sud
Présentation de l'opération d'Inventaire des fortifications littorales du milieu du 19e siècle dans les îles de Bretagne Sud (1830-1870)
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  • (c) Association 1846

Dossier non géolocalisé

  • Aires d'études
    Bretagne Sud

L'opération d'inventaire des fortifications littorales du milieu du 19e siècle dans les îles de Bretagne Sud (1830-1870) a été réalisée par l'association "1846" dans le cadre de l'appel à projets Héritages littoraux de la région Bretagne, pour lequel elle a été lauréate en 2015. Le travail s'est déroulé jusqu'en 2017.

Se situant dans la continuité des travaux de Nicole Le Pourhiet-Salat, Nicolas Faucherre et Philippe Prost dans les années 1980 et 1990, l'opération vise à approfondir la connaissance d'un ensemble fortifié représentatif des doctrines de défense des côtes durant les deux premiers tiers du 19e siècle en France. Elle part du constat d'une méconnaissance d'un patrimoine architectural pourtant omniprésent, mais victime de ce qu'il est possible d'appeler le syndrome "De Vauban à Todt" : l'interprétation de tout ouvrage fortifié du littoral en fonction d'une polarisation fin du 17e siècle/Seconde Guerre mondiale. Et si l'un des objets du corpus étudié, le corps de garde crénelé servant de poste garde-côtes de la pointe des Poulains à Belle-Île, connaît une célébrité certaine, ce n'est assurément pas en tant que maillon d'un système défensif, mais en hommage à son ancienne propriétaire. Symptomatiquement, le visiteur actuel du site n'apprendra rien de la destination initiale de la demeure de villégiature de Sarah Bernhardt à travers la muséographie récemment mise en place.

Le choix de l'aire d'étude correspond à l'ancien troisième arrondissement maritime de Lorient, espace stratégique intéressant la défense de cet arsenal mais aussi celle de toute la façade Manche-Atlantique par la préservation des communications maritimes le long du littoral sud de la Bretagne. La limitation aux seuls espaces insulaires permet de mettre en valeur des aspect originaux de cette défense. La cohérence a fait ajouter la presqu'île de Quiberon, dont l'organisation défensive est celle d'une île, et l'île Dumet (Piriac-sur-Mer, Loire Atlantique) au corpus strictement breton et insulaire constitué de l'archipel des Glénan, de l'île de Groix, de Belle-Île, de Houat et d'Hoedic. Les notices sur la batterie et la tour crénelée de l'île Dumet ne pouvant pas figurer dans la base de données de la région Bretagne, elles sont consultables dans celle de la région Pays de la Loire.

La commission de 1841 et le renouveau de la défense des côtes.

En 1840, sous le règne de Louis-Philippe, la question de la défense des côtes (re)vient à l’ordre du jour. Avec le retour de la paix en 1815, la défense des côtes avait cessé d'être une préoccupation. La France des Bourbons restaurés ne menace plus l'ordre européen des puissances conservatrices. La donne change à partir de 1830 avec le retour d'une France révolutionnaire. Par leur existence même, la monarchie de Juillet, la Deuxième République et le Second Empire remettent en cause le statu quo du Congrès de Vienne. Pire, ils entendent réaffirmer la place de la France dans le concert des nations et reprendre une politique d'expansion coloniale. Dès lors, un conflit avec une coalition européenne incluant la Grande-Bretagne, ou celle-ci seule, redevient une hypothèse sérieuse. Si des efforts sont faits dès les années 1830, c'est surtout après la crise diplomatique de 1840 qu'un programme de remise à niveau des défenses côtières du pays est entrepris.

En juillet 1840 les puissances européennes, Grande-Bretagne en tête, contraignent la France à voir le pacha d’Égypte Méhémet Ali qu'elle soutient échouer dans son défi lancé à l'Empire ottoman. À cette occasion les opinions publiques chauffées à blanc et un probable bluff diplomatique d'Adolphe Thiers alors président du Conseil et ministre des Affaires étrangères manquent de conduire à la guerre. Suite à cet épisode des efforts sont consentis pour améliorer le système défensif du pays. C'est à lui que Paris doit son enceinte bastionnée et ses forts détachés. Pour le littoral, où tout a été laissé en l'état depuis 25 ans, le maréchal Soult, ministre de la Guerre, ordonne le 11 février 1841, la mise en place d'une « Commission mixte d’armement des côtes, de la Corse et des îles », composée d’officiers d’artillerie, du génie et de la marine sous la présidence du général (d'artillerie) de La Hitte. Son objectif est d'établir un programme cohérent de fortification à réaliser sur plusieurs années en fonction de la disponibilité des crédits. Cette volonté d'organisation dès le temps de paix tranche avec la tendance à l'improvisation au déclenchement des hostilités auparavant observable. Elle est aussi une manière de conjurer le traumatisme des guerres de la Révolution et de l'Empire, durant lesquelles la Grande-Bretagne était parvenue à faire du trait de côte du continent sa frontière.

Un grand soin est apporté aux études. La commission de défense des côtes commence par établir les grands principes de la future organisation de la défense des côtes, avant de passer le relais à cinq commissions locales – une par arrondissement maritime – chargées de faire des propositions concrètes en terme d'ouvrages à conserver et d'armement. Ce travail, achevé en 1843, est ensuite soumis aux comités d'armes concernés (artillerie et génie) et au ministère de la Marine. En 1845 le programme modifié par ces différentes instances passe encore entre les mains d'une commission dite « de révision ». Il comprend alors 471 ouvrages, dont 11 fronts de mer de places maritimes, 91 forts et redoutes, 348 batteries et 21 postes garde-côtes, à remanier ou à construire à neuf. Ce programme est définitivement validé en 1847 – six ans après la formation de la commission. Mais les réalisations commencent dès le milieu des années 1840.

Une fortification des débuts de la Révolution industrielle.

Le programme de la commission de 1841 voit les fortifications côtières subir un début de modernisation qui vise à les adapter aux premières évolutions techniques de la Révolution industrielle.

Certes, c'est encore largement l'époque de la marine à voile, des coques en bois et du canon lisse. Le changement de paradigme entraîné par le navire cuirassé à partir de 1860 est encore à venir. Néanmoins plusieurs innovations commencent à remettre en cause l'équilibre entre l'attaque et la défense. Il s'agit d'abord de la généralisation de l'usage des projectiles explosifs. La France se dote par exemple dans les années 1820-1830 du canon-obusier mis au point par un officier du nom de Paixhans. Il en résulte un accroissement de la puissance de feu des flottes (démontrée par la flotte française lors du bombardement du fort Saint-Jean d'Ulloa au large de Veracruz en 1838, pour une sombre histoire de pâtisseries) mais aussi des défenses côtières (éprouvée par la flotte alliée lors du bombardement de Sébastopol le 17 octobre 1854). La propulsion à vapeur change également la donne. Jusqu'alors les navires tributaires des vents et des courants étaient peu maîtres de leur manœuvre face aux fortifications côtières. En leur permettant de s'affranchir de ces contraintes, la vapeur leur donne la capacité de surprendre les défenses en permanence et de choisir le meilleur moment et le meilleur endroit pour les affronter.

La défense du littoral est alors repensée en renforçant la puissance des ouvrages permanents tout en diminuant leur nombre.

la commission préconise un renforcement et une uniformisation des calibres de l’artillerie de côte et retient trois bouches à feu des plus forts calibres en usage dans la marine : le canon long de 30 livres (calibre 164,7 mm), l’obusier de 22 centimètres « à la Paixhans » et le mortier de 32 centimètres à plaque. Le canon de 30 livres, pièce d'artillerie lisse très classique, peut engager le combat à boulets pleins à longue distance (à 2 400 mètres ils se logent encore dans une muraille de bois). À distance moyenne il poursuit à obus explosifs, rejoint par l'obusier de 22 cm aux projectiles redoutables pour les coques en bois (un obus se loge encore à 1 600 mètres). Ces deux bouches à feu entrent à parité dans l'armement des batteries. Les mortiers sont capables de tirer leurs bombes explosives aux terribles effets sur les ponts des navires à plus de 4 000 mètres, mais en raison de leur grande imprécision ils sont réservés à l'action sur des navires au mouillage et ne se rencontrent donc pas dans toutes les batteries. Les fourneaux à rougir les boulets – marotte de la fin du 18e siècle et des guerres de la Révolution et de l'Empire – sont abandonnés : désormais ce sont les obus chargés de poudre noire qui doivent porter la destruction et l'incendie dans les navires ennemis.

Du fait des projectiles explosifs, le faciès des fortifications change sensiblement. Si beaucoup d'ouvrages anciens en maçonnerie sont conservés, de plus en plus la protection des hommes et du matériel est recherchée en les abritant derrière d'imposantes masses de terre (six mètres d'épaisseur pour les parapets des batteries de côte). Ces terrassements massifs sont caractéristiques de la période et annoncent l’architecture des ouvrages de l'après-1870. La standardisation est également à l’œuvre pour faciliter le travail des ingénieurs militaires, et le contrôle de celui-ci par les instances centrales du ministère de la Guerre.

Les nouvelles fortifications sont réservées aux points sensibles : mouillages, plages favorables aux débarquements, ports, embouchures de cours d'eau, abords des grands ports militaires, et enfin, îles.

La défense de la "contrescarpe insulaire" (Jérôme Le Corre).

« Si les îles frontières étaient abandonnées, ou mal défendues, elles offriraient à l'ennemi, dès le début de la guerre, une proie facile et de précieuses conquêtes : elles lui fourniraient de l'eau, des subsistances, des lieux de repos pour ses équipages fatigués et pour ses malades, enfin des dépôts pour ses charbons : l'ennemi s'élancerait de ces lieux pour faire des courses peu périlleuses, pour intercepter ou tout au moins gêner les communications, pour piller les convois, ruiner le cabotage, désoler le commerce et menacer sans cesse les côtes voisines de ses descentes.

Lorsque, au contraire, ces îles seront défendues, elles deviendront les postes avancés de la ligne générale de défense, des vedettes chargées d'observer les mouvements des escadres ennemies ou les tentatives des corsaires ; elles protégeront la circulation du cabotage, elles couvriront une partie des côtes, en menaçant sur leurs derrières, les entreprises de débarquement de l'ennemi ; enfin, et c'est là désormais le résultat le plus intéressant de la possession des îles frontières, cette possession rendra au moins très-difficiles et très-dispendieuses les croisières des bâtiments à vapeur de l'ennemi, en lui enlevant les points où il pourrait entretenir des dépôts de charbon » (Ministère de la Guerre, Mémoire sur la défense des frontières maritimes de la France présenté le 5 avril 1843 par la commission mixte d'armement des côtes, de la Corse et des îles, Paris, Imprimerie nationale, 1848, p. 14-15).

La défense systématique des îles voulue par la commission de 1841 dépasse donc largement le contexte local. Les îles ne sont pas défendues pour elles-mêmes - pourquoi défendre les Glénan, Houat, Hoedic ou Dumet ? - mais bien en tant que points d'appui éventuels pour les forces de blocus ennemies. L'enjeu est le maintien de la liberté de communication entre les grands ports de la façade océanique - Bordeaux, Nantes - et les arsenaux du Ponant - Lorient, Brest. D'où la présence d'ouvrages de fortification permanente parfois disproportionnés par rapport à la superficie des îles occupées.

La défense des îles s'articule autour d'un "réduit", censé permettre à la garnison de se mettre à l'abri en cas de débarquement important, de maintenir une tête de pont afin de favoriser un retour offensif (ce qui peut être appelé trivialement "stratégie du pied dans la porte") et surtout à obliger un éventuel assaillant à déployer des moyens, tant en troupes et armements qu'en logistique sans rapport avec le bénéfice attendu d'une attaque. Le corpus étudié présente une large gamme des réduits insulaires construits sur les îles françaises à l'époque :

- place forte avec citadelle (Le Palais) ;

- fort (Groix, Quiberon, Houat, Hoedic) ;

- corps de garde ou tour crénelés (Penfret, Dumet).

Les réduits sont complétés par des batteries d'artillerie de côte dont le rôle est de battre les mouillages pouvant être fréquentés par des flottes assurant le blocus ou transportant un corps de débarquement et assurer la couverture des passes du littoral afin d'y protéger les communications amies, et par des postes gardes-côtes chargés de la surveillance des points de débarquement. 22 des 23 batteries prévues par la commission de 1841 ont été effectivement construites, mais seuls cinq des 15 postes gardes-côtes - tous à Belle-Île.

Apports de l'opération.

Parmi les enseignements de l'étude, il est possible de mettre en avant les points suivants :

- une standardisation à géométrie variable : les ouvrages construits selon des plans-types définis par le Comité des fortifications n'en sont pas moins adaptés aux contraintes locales par les officiers du génie chargés de leur mise en œuvre ; il faut davantage considérer les plans-types comme des bases de travail rendues nécessaires par l'ampleur du programme de fortification prévu ;

- un archaïsme qui n'est qu'apparent : les ouvrages dont le rôle est de résister à de l'infanterie débarquée, sans artillerie lourde, peuvent se contenter de lui opposer un obstacle vertical en maçonnerie flanqué par des dispositifs adaptés aux armes individuelles ; la tour, le parapet en maçonnerie, le créneau, le mâchicoulis, le pont-levis ne sont pas des emprunts à des périodes plus anciennes, ce sont simplement des formes pertinentes dans un contexte donné ;

- une obsolescence un peu vite proclamée : pour les même raisons que précédemment, des ouvrages construits sur le littoral peuvent ne pas être aux standard imposés par les meilleurs moyens d'attaque de l'époque ; le fort Surville à Groix, le fort de Penthièvre à Quiberon, la citadelle et l'enceinte urbaine du Palais sont conservés après 1870 parce que les moyens d'attaque qui peuvent alors leur être opposés ne bénéficient pas des récents progrès techniques ; a contrario, des ouvrages dont la conservation aurait nécessité des investissements sans rapport avec le bénéfice attendu sont rapidement abandonnés, comme les forts de Houat et d'Hoedic.

L'opération trouve néanmoins ses limites dans son caractère régional, quand l'architecture militaire étudiée revêt un caractère national marqué du au fort contrôle du Comité des fortifications et à la culture et formation communes d'officiers du génie amenés par ailleurs à exercer leur art en différents points du territoire national au cours de leur carrière. La présente étude se veut comme une contribution à un travail plus élargi, mais également comme une base de comparaison.

A côté du patrimoine monumental existe également un petit patrimoine méconnu, vestiges d'ameublement ou bornes de délimitation des terrains militaires et des zones de servitudes.

Enfin, les études de terrain ont été l'occasion de constater que la reconnaissance de ces ouvrages comme patrimoine ne va pas toujours de soi. Le sort réservé aux terrassements en particulier est inquiétant, comme si seuls la maçonnerie et le béton étaient identifiés comme matériaux de la fortification, dans une énième réactivation du syndrome "De Vauban à Todt". Parapets, épaulements, banquettes, traverses, parados, masses couvrantes et glacis méritent assurément mieux que d'être passés au bulldozer.

Toutefois, le constat est aussi celui d'une reconnaissance en marche, comme à Houat, Hoedic ou Dumet.

Documents d'archives

  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 4, Frontières de la France : 1 VD 43, Frontières maritimes, études générales sur la défense des côtes, 1812-1814.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VD 43
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 4, Frontières de la France : 1 VD 57, Défense de la frontière des côtes de Bretagne, 1683-1759.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VD 57
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 4, Frontières de la France : 1 VD 59, Défense de la frontière des côtes de Bretagne, 1798-1859.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VD 59
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 6, Travaux mixtes : 1 VF 275, Délibérations de la commission mixte des travaux publics du Morbihan, Port-Louis, procès-verbaux de réunion, 1830-1909.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VF 275
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 286, Place de Belle-Île-en-Mer, projets et dépenses annuels, 1807-1816.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 286
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 287, Place de Belle-Île-en-Mer, projets et dépenses annuels, 1817-1825.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 287
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 288, Place de Belle-Île-en-Mer, projets et dépenses annuels, 1826-1830.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 288
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 289, Place de Belle-Île-en-Mer, projets et dépenses annuels, 1831-1836.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 289
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 290, Place de Belle-Île-en-Mer, projets et dépenses annuels, 1837-1842.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 290
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 291, Place de Belle-Île-en-Mer, projets et dépenses annuels, 1843-1846.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 291
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 292, Place de Belle-Île-en-Mer, projets et dépenses annuels, 1847.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 292
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 293, Place de Belle-Île-en-Mer, projets et dépenses annuels, 1848-1853.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 293
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 294, Place de Belle-Île-en-Mer, projets et dépenses annuels, 1854-1857.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 294
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 295, Place de Belle-Île-en-Mer, projets et dépenses annuels, 1858-1859.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 295
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 296, Place de Belle-Île-en-Mer, projets et dépenses annuels, 1860-1861.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 296
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 297, Place de Belle-Île-en-Mer, projets et dépenses annuels, 1862-1875.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 297
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 644, Place de Concarneau, projets et dépenses annuels, 1855-1876.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 644
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 881, Place de Houat-Hoedic, projets et dépenses annuels, 1863-1875.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 881
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 1473, Place de Port-Louis, projets et dépenses annuels, 1835-1846.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 1473
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 1474, Place de Port-Louis, projets et dépenses annuels, 1847-1856.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 1474
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 1475, Place de Port-Louis, projets et dépenses annuels, 1857-1875.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 1475
  • Service historique de la Défense, Département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 1515, Place de Quiberon, projets et dépenses annuels, 1747-1822.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 1515
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 1516, Place de Quiberon, projets et dépenses annuels, 1823-1837.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 1516
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 1517, Place de Quiberon, projets et dépenses annuels, 1838-1846.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 1517
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 1518, Place de Quiberon, projets et dépenses annuels, 1847-1874.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 1518
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 2043, Collections de plans, Basse-Loire à Belle-Île-en-Mer.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 2043
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 8, Places françaises et d'Algérie : 1 VH 2069, Collections de plans, Quiberon à Rocroi.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VH 2069
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 12, Avis du Comité : 1 VK 40, Mémoires généraux sur les frontières maritimes, 1802-1852.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VK 40
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 12, Avis du Comité : 1 VK 41, Mémoires généraux sur les frontières maritimes, 1853-1885.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VK 41
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 12, Avis du Comité : 1 VK 42, Travail de la commission d'armement des côtes sur les frontières maritimes, 1844.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VK 42
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 12, Avis du Comité : 1 VK 139, Objets d'art : notes, mémoires et croquis de types (modèles) annexés aux avis du Comité du génie.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VK 139
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 12, Avis du Comité : 1 VK 141, Objets d'art : notes, mémoires et croquis de types (modèles) annexés aux avis du Comité du génie.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VK 141
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 12, Avis du Comité : 1 VK 144, Objets d'art : notes, mémoires et croquis de types (modèles) annexés aux avis du Comité du génie.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VK 144
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 12, Avis du Comité : 1 VK 534, Croquis annexés aux avis du Comité, Bellegarde, Belle-Île-en-Mer, Bergues (1818-1885).

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VK 534
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 12, Avis du Comité : 1 VK 577, Commission de défense des côtes, 1860-1862.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VK 577
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 12, Avis du Comité : 1 VK 582, Registre des avis du Comité des fortifications sur le crédit général pour la défense des côtes, 1846-1849.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VK 582
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 12, Avis du Comité : 1 VK 583, Registre des avis du Comité des fortifications sur le crédit général pour la défense des côtes, 1850-1858.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VK 583
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 12, Avis du Comité : 1 VK 584, Registre des avis du Comité des fortifications sur le crédit général pour la défense des côtes, 1858-1867.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VK 584
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 12, Avis du Comité, collection d'atlas des batteries de côte (1893-1913) : 1 VK 736.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VK 736
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; Article 21, Objets d'art : 1 VR 122, projets et études pour la construction de casernes et autres bâtiments voûtés à l'épreuve de la bombe, 1746-1874.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 1 VR 122
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives du Génie ; sous-série 3V, inspection du génie : 3 V 769, Commission de déclassement et d'aliénation d'ouvrages anciens, 1946-1947.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 3 V 769
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives de l'Artillerie ; Sous-série 3 W, Opérations militaires : 3 W 31, Documents concernant le 2e arrondissement maritime (Brest).

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 3 W 31
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Archives de l'Artillerie ; Sous-série 3 W, Opérations militaires : 3 W 32, Documents concernant le 3e arrondissement maritime (Lorient).

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 3 W 32
  • Service historique de la Défense, Département Armée de Terre, Vincennes. Archives de l'Artillerie ; Sous-série 3 W, Opérations militaires : 3 W 55, Direction de Nantes.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 3 W 55
  • Service historique de la Défense, Département Armée de Terre, Vincennes. Archives de l'Artillerie ; Sous-série 3 W, Opérations militaires : 3 W 56, Direction d'Artillerie de Brest, 1746-1904.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 3 W 56
  • Service historique de la Défense, Département Armée de Terre, Vincennes. Archives de l'Artillerie ; Sous-série 3 W, Opérations militaires : 3 W 58, Documents particuliers à la Direction de Brest.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 3 W 58
  • Service historique de la Défense, Département Armée de Terre, Vincennes. Archives de la Guerre, Troisième République ; Sous-série 7 N, État-major de l'Armée : 7 N 1881, Commission de défense des côtes, délibérations et correspondance expédiée, 1870-1878.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 7 N 1881
  • Service historique de la Défense, Département Armée de Terre, Vincennes. Archives de la Guerre, Troisième République ; Sous-série 7 N, Etat-Major de l'Armée : 7 N 1904, Défense des fronts de mer, dossiers de l’inspection générale permanente d’armement des côtes - Atlantique : pièces collectives, Belle-Ile, Blaye, Bordeaux, Brest (1878-1912).

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 7 N 1904
  • Service historique de la Défense, département Armée de Terre, Vincennes. Série N, Archives de la Guerre, Troisième République ; Sous-série 7 N, État-major de l'Armée, 1872-1940 : 7 N 1905, Défense des fronts de mer, dossiers de l'inspection général permanente d'armement des côtes - Atlantique : pièces collectives, Fort Médoc, fort Paté, La Rochelle, embouchure de la Loire, Lorient, Nantes, Quiberon, Rochefort, Îles d'Aix et d'Oléron, Saint-Nazaire (1878-1898), Îles de Groix, d'Ouessant et de Ré (1887-1907).

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : 7 N 1905
  • Service historique de la Défense, Département Marine, Vincennes. Archives de la Première Guerre mondiale ; Sous-série SS EE, Etat-major général, 5e section (défense du littoral) : SS EE 22, défense du littoral du 3e arrondissement maritime.

    Service Historique de la Défense du Château de Vincennes : SS EE 22
  • Service historique de la Défense, Département Marine, Lorient. Archives de la Place et du Génie de Belle-Île-en-Mer ; Sous-série 4 S2, archives du Génie de Belle-Île-en-Mer : 4 S2 8, instructions et circulaires.

    Service Historique de la Défense de Lorient : 4 S2 8
  • Service historique de la Défense, Département Marine, Lorient. Archives de la Place et du Génie de Belle-Île-en-Mer ; Sous-série 4 S2, archives du Génie de Belle-Île-en-Mer : 4 S2 52, comptabilité.

    Service Historique de la Défense de Lorient : 4 S2 52
  • Service historique de la Défense, Département Marine, Lorient. Archives de la Place et du Génie de Belle-Île-en-Mer ; Sous-série 4 S2, archives du Génie de Belle-Île-en-Mer : 4 S2 96, comptabilité.

    Service Historique de la Défense de Lorient : 4 S2 96
  • Service historique de la Défense, Département Marine, Lorient. Archives de la Place et du Génie de Belle-Île-en-Mer ; Sous-série 4 S2, archives du Génie de Belle-Île-en-Mer : 4 S2 97, comptabilité.

    Service Historique de la Défense de Lorient : 4 S2 97
  • Service historique de la Défense, Département Marine, Lorient. Archives de la Place et du Génie de Belle-Île-en-Mer ; Sous-série 4 S3, archives de la Place de Houat-Hoedic : 4 S3 3, documents en provenance du Comité des fortifications.

    Service Historique de la Défense de Lorient : 4 S3 3
  • Service historique de la Défense, Département Marine, Lorient. Archives de la Place et du Génie de Belle-Île-en-Mer ; Sous-série 4 S3, archives de la Place de Houat-Hoedic : 4 S3 5, Projets.

    Service Historique de la Défense de Lorient : 4 S3 5
  • Service historique de la Défense, Département Marine, Lorient. Archives de la Place et du Génie de Belle-Île-en-Mer ; Sous-série 4 S3, archives de la Place de Houat-Hoedic : 4 S3 11, comptabilité, règlement définitif, travaux 1857-1874.

    Service Historique de la Défense de Lorient : 4 S3 11
  • Archives départementales du Morbihan. Série Q, Domaines : Q 371 [cote provisoire], Bureau des Domaines de Belle-Île.

    Archives départementales du Morbihan : Q 371
  • Archives départementales du Morbihan. Série Q, Domaines : Q 372 [cote provisoire], Bureau des Domaines de Belle-Île.

    Archives départementales du Morbihan : Q 372
  • Archives départementales du Morbihan. Série Q, Domaines : Q 517 [cote provisoire], Belle-Île,1890-1980.

    Archives départementales du Morbihan : Q 517
  • Archives départementales du Morbihan. Série Q, Domaines : Q 519 [cote provisoire], Groix, batterie du Gripp, 1890-1891.

    Archives départementales du Morbihan : Q 519
  • Archives départementales du Morbihan. Série S, Travaux publics et transports ; sous-série 4 S, mer, ports, transport maritime : 4 S 1290, Port Haliguen, 1770-1939.

    Archives départementales du Morbihan : 4 S 1290

Bibliographie

  • MINISTÈRE DE LA GUERRE. Mémoire sur la défense des frontières maritimes de la France présenté le 5 avril 1843 par la commission mixte d'armement des côtes, de la Corse et des îles. Paris, Imprimerie nationale, 1848, 226 pages.

  • BAUDRY, Marie-Pierre, FAUCHERRE, Nicolas, La citadelle de Belle-Ile, In CONGRES DE L'ASSOCIATION VAUBAN (5,6,7 mai 1989), Vauban à Belle-Île, Trois cents ans de fortification côtière en Morbihan, Le Palais, Éditions Gondi, 1990, p. 51-70.

  • BAUDRY, Marie-Pierre, Étude du bastion du Dauphin, mai 1990, dactylographié.

  • BAUDRY, Marie-Pierre, Étude documentaire du front sud de l'Enveloppe, citadelle de Belle-Ile-en-Mer, dactylographié, mai 1992.

  • BAUDRY, Marie-Pierre, Les magasins à poudre situés dans l'enveloppe de la citadelle de Belle-Ile, dactylographié, janvier 1993

  • BUTTIN, Henri, BUTTIN Marie-Paule, Hoëdic et Houat : deux postes avancés de la citadelle de Belle-Ile, In CONGRES DE L'ASSOCIATION VAUBAN (5,6,7 mai 1989), Vauban à Belle-Île, Trois cents ans de fortification côtière en Morbihan, Le Palais, Éditions Gondi, 1990, p. 99-111.

  • CAROFF (capitaine de frégate). Les Forces maritimes de l'Ouest, 1939-1940. Marine nationale, 1954.

  • CHAZETTE, Alain, DESTOUCHES, Alain, TOMINE, Jacques, PAICH, Bernard, LAURENT, Jacky. Atlantikwall. Mythe ou réalité. Bonchamp-lès-Laval : éditions Histoire et fortifications, 2008, 480 p.

  • CHAZETTE, Alain, TOMINE, Jacques. A la découverte des fortifications de l'île de Groix. Spécial randonnée. Éditions Histoire et Fortifications, 2011, 64 p.

  • DALLEMAGNE, François, Les casernes françaises, Paris, Picard, 1990.

  • DELAIR (P. E.), Histoire de la Fortification jusqu'en 1870, Thionville, éditeur Gérard Klopp, 2003, 188 p.

    Histoire de la Fortification jusqu'en 1870
  • DELMAS, Jean, L'organisation défensive du territoire, In Histoire militaire de la France, t. 2, de 1715 à 1871, Paris, Presses universitaires de France, 1992, pages 471-481.

  • FAUCHERRE, Nicolas, PROST, Philippe, CHAZETTE, Alain. Les fortifications du littoral, La Bretagne Sud. Chauray-Niort, collection : les fortifications du littoral. 1998, 279 p., ISBN 2-910137-24-4.

  • JADÉ, Patrick. "Les tours et corps de garde de défense côtière de la monarchie de Juillet au Second Empire : un état des lieux". In Battre le littoral. Histoire, reconversion et nouvelles perspectives de mise en valeur du petit patrimoine militaire maritime, journées d'études internationales, Université Bordeaux 3 (Bordeaux, 15-16 novembre 2012) : Toulouse, Presses Universitaires du Mirail, 2014, coll. Architectures, p. 33-47.

  • LE POURHIET-SALAT, Nicole. La défense des îles bretonnes de l´Atlantique, des origines à 1860. Vincennes, Service Historique de la Marine, 1983, 375 p.

  • MALCHAIR, Luc, et al. Index de la fortification française : Métropole et Outre-mer, 1874-1914. Auto-édition, 2008, 832 p.

  • MORINEAU, Jacques, Les Fortifications de la presqu'île de Quiberon, In CONGRES DE L'ASSOCIATION VAUBAN (5,6,7 mai 1989), Vauban à Belle-Île, Trois cents ans de fortification côtière en Morbihan, Le Palais, Éditions Gondi, 1990, p. 112-118.

  • PORTIER, Carlette, POUTORD, Jacques, Belle-Île-en-Mer. L'enceinte urbaine de Palais, Locmaria, Société historique de Belle-Île-en-Mer, 1998.

  • PROST, Philippe, L'enceinte urbaine du Palais, un grand chantier de l'Empire, In CONGRES DE L'ASSOCIATION VAUBAN (5,6,7 mai 1989), Vauban à Belle-Île, Le Palais, Éditions Gondi, 1990, pages 74-87.

  • PROST, Philippe. Les forteresses de l´Empire. Fortifications, villes de guerre et arsenaux napoléoniens. Paris : édition du Moniteur, 1991, 211 p.

  • ROCOLLE, (Colonel). 2000 ans de fortification française. Paris, Charles Lavauzelle, 1973, 2 vol., 365 p. et 262 p.

  • TOMINE, Jacques, Le Mur de l'Atlantique à Belle-Île-en-Mer, Locmaria, Société historique de Belle-Île-en-Mer, 2007, 64 pages.

  • TRUTTMANN, Philippe, Belle-Ile, ou la défense globale d'un littoral, In CONGRES DE L'ASSOCIATION VAUBAN (5,6,7 mai 1989), Vauban à Belle-Île, Le Palais, Éditions Gondi, 1990, pages 88-98.

  • TRUTTMANN, Philippe (Colonel). Les derniers châteaux forts, les prolongements de la fortification médiévale en France 1634-1914 , Thionville, Klopp, 1993, 253 p. ISBN 2-906535-75-3.

  • TRUTTMANN, Philippe. La barrière de fer. L’Architecture des Forts du Général Séré de Rivières (1872-1914). Thionville : éditions Klopp, 2000, 544 p.

Périodiques

  • BUTTIN Pierre, BUTTIN, Henri, Fortifications des îles de Houat et d'Hoedic au XIXe siècle, Melvan, 2015, n° 12, p. 115-150.

  • CHAURIS, Louis, Pierres de construction dans un terroir sans granite : l'île de Groix, Penn ar Bed, décembre 2004, n° 190/191, p. 46-54.

  • CHAURIS, Louis, Nature et provenance des pierres mises en œuvre dans les ouvrages défensifs à Belle-Île (Morbihan), Bulletin de l'association bretonne, 2011, CXX, p. 285-302.

  • CHAURIS, Louis, Pierres de construction à Houat, Melvan, 2016, n° 13, p.129-135.

Annexes

  • Cahier des clauses scientifiques et techniques
  • Glossaire de la fortification au milieu du 19e siècle
  • Rapport sur la défense de l'archipel des Glénans, 1857.
  • Propositions de la commission de 1841 pour la défense de l'île de Groix.
  • Propositions de la commission de 1841 pour la défense de la presqu'île de Quiberon.
  • Propositions de la commission de 1841 pour la défense de Belle-Ile.
  • Propositions de la commission de 1841 pour la défense des îles d'Houat et d'Hoedic.
  • Propositions de la commission de 1841 pour la défense de l'île Dumet.
Date(s) d'enquête : 2015 - 2017 ; Date(s) de rédaction : 2017
(c) Région Bretagne
(c) Association 1846
Jadé Patrick
Jadé Patrick

Historien, président de l'Association "1846, La fortification du 19e siècle : connaître et partager".

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